ATP PARIS-BERCY 2016

allez STAN il faut recharger les batteries   

booboo a écrit:

Oui je pense que maintenant il faut plus compter sur Lucas Pouille que sur Tsonga ..
J'espère aussi que Djoko arrivera à le gagner une fois de plus !
Mais honnêtement je pense que Murray ira très très loin dans ce tournoi

MURRAY grignote ,il n'est pas très loin de son objectif

http://fr.tennistemple.com/flashs/5-francais-piste-samedi-bercy-q-bennetea_rVX

5 Français en piste ce samedi à Bercy (Q).
Benneteau vs Sugita,
Halys vs Jaziri,
Herbert vs Youzhny,
Lamasine vs Haase
Millot vs Lajovic.

Aujourd'hui première journée des qualifications de Bercy et première qualification Française.
C'est passé pour Benneteau J face à Sugita Y. (Jpn) : 6/1 4/6 6/1
Mais également pour Herbert P.H face à Youzhny M. (Rus) : 4/6 6/2 6/2
Espérons que cela continue ..!

oui c'est bien

Tableau des qualifications  
http://www.protennislive.com/posting/2016/352/qs.pdf
Tableau simples  
http://www.protennislive.com/posting/2016/352/mds.pdf

Tableau doubles
http://www.protennislive.com/posting/2016/352/mdd.pdf

Ah Djoko fait le double aussi


Pas mal de français en double

C'est le réveil bleu blanc rouge

Bercy : Sans raquettes, Evans déclare forfait en qualifs
Media365, publié le 29 octobre
http://sports.orange.fr/tennis/atp/article/bercy-sans-raquettes-evans-declare-forfait-en-qualifs-CNT000000whcK9.html

Daniel Evans a été contrait de se retirer des qualifications du tournoi de Bercy car son sac de raquettes n'est jamais arrivé à Paris.

C'est une mésaventure peu commune et probablement assez rageante qui est arrivée à Daniel Evans. Alors que le Britannique devait prendre part aux qualifications du Masters 1000 de Bercy, samedi, face à Lukas Rosol, il a été contrait de céder sa place à un autre joueur car son sac de raquettes n'est jamais arrivé à Paris. Du coup, Evans devrait en profiter pour effectuer une petite visite de la capitale.

il se consolera en visitant Paris

Novak Djokovic face à l'impossible quadruplé à Bercy

http://www.francetvsport.fr/tennis/masters-1000/novak-djokovic-face-a-l-impossible-quadruple-a-bercy-365187
Par Thierry Tazé-Bernard
Publié le 30/10/2016 | 07:01, mis à jour le 30/10/2016 | 07:02

]Premier et seul triple tenant du titre à Bercy, Novak Djokovic va tenter de réaliser une incroyable passe de quatre au BNP Paribas Masters, qui débute ce dimanche. Mais le Serbe n'est plus la machine du début de saison. Et surtout, à l'issue de cette semaine parisienne, il peut perdre sa place de N.1 mondial (sous conditions) au profit d'un Andy Murray insatiable. N.1, il l'est sans discontinuité depuis le mois de juillet 2014.[]

Un record absolu difficile à repousser

Depuis le début du tournoi de Bercy, jamais personne n'a remporté quatre fois l'épreuve consécutivement. Novak Djokovic a été le premier à le réaliser à trois reprises, depuis 2013. Il en est ainsi le recordman, puisqu'il avait déjà accroché son nom au palmarès en 2009. Avec quatre victoires dans cette salle, il devance déjà d'une longueur un Marat Safin ou un Boris Becker, et de deux longueurs André Agassi, Pete Sampras ou Stan Smith, puisque l'épreuve a vécu une autre ère, entre 1968 et 1982. C'est dire la performance de l'actuel N.1 mondial sur ce terrain. D'autant plus qu'en Masters 1000, les quadruplés ne sont pas fréquents. Bien sûr, il y a les 8 titres de Nadal à Monte-Carlo (2005-2012), mais c'est le seul. L'Espagnol s'est arrêté à un triplé à Madrid (2005-2007), comme Federer à Indian Wells (2004-2006) et Djokovic à Bercy mais aussi à Indian Wells et Miami (2014-2016), tout comme André Agassi en Floride (2001-2003).
Et pour conserver sa couronne, il pourrait avoir sur son chemin un certain Dimitrov (N.14) dès son deuxième match, un Goffin (N.8), auteur de sa meilleure saison, en quarts de finale, et un Wawrinka (N.3) ou un Thiem (N.6), en demi-finales. Avant peut-être de retrouver Andy Murray, comme l'an dernier, sauf que l'Ecossais en est à 13 victoires de rang.

Une machine "relativement" enrayée

Depuis le début de la saison, Novak Djokovic a concédé 7 défaites, dont 4 depuis la fin du mois de juin et son premier succès sur la terre battue de Roland-Garros. Et le Serbe n'a pas perdu des matches anecdotiques: 3e tour de Wimbledon, 1er tour aux JO de Rio, finale de l'US Open et demi-finale du Masters 1000 de Shanghaï. "J'ai vécu des hauts et des bas en termes de résultats et il y a des choses que je dois retrouver au niveau des émotions et du mental", avait-il dit à l'issue de son dernier revers. "C'est une période de transition et peut-être suis-je juste harassé par les nombreux matches disputés lors des quinze et vingt dernier mois." Alors qu'il avait remporté 50% des tournois auxquels il participait dans les six premiers mois de l'année jusqu'à Roland-Garros, il n'en a gagnés qu'un seul sur les cinq depuis lors.

Une concurrence focalisée sur lui

C'est le lot de tous les maîtres du jeu: devenir la cible. Depuis son accession au plus haut niveau en 2011 (série de 43 victoires consécutives jusqu'à sa demi-finale perdue à Roland-Garros contre Roger Federer), Novak Djokovic est devenu LA référence du circuit mondial. Les années passant, le Suisse et Rafael Nadal ont peu à peu été éclipsés. Avec 12 tournois du Grand Chelem à son actif, il n'est plus qu'à deux longueurs de l'Espagnol (14), et encore loin de l'Helvète (17). En revanche, avec ses 30 Masters 1000, il les devance (Nadal 28, Federer 24). Du coup, les autres joueurs du circuit font, comme leurs prédécesseurs, un travail spécifique pour le dominer. Comme avant un McEnroe a fini par trouver la clé de Borg, comme Sampras a trouvé en Agassi son antidote, comme Federer a vu en Nadal un égal...

Andy Murray en chasseur

Le Britannique est N.2 mondial, mais ses performances de l'été lui permettent d'envisager de s'emparer du trône, même s'il s'en défend. "Mon but n'est pas d'essayer de devenir N.1 mondial dès cette année. Pour cela, je devrais gagner tous mes matches alors que Novak a besoin de très peu de victoires. Donc, cela ne dépend pas de moi. J'aimerais y arriver mais je ne pense que ce soit réaliste cette année. Je souhaite juste terminer l'année du mieux possible pour me donner une chance de le devenir en début de saison prochaine", disait-il à l'issue de son succès à Shanghaï.
Seulement voilà, si Andy Murray remporte ce week-end le tournoi de Vienne, et s'impose à Bercy, alors que Djokovic s'incline en demi-finale ou avant, l'Ecossais sera N.1 pour la première fois de sa carrière. Il faut dire qu'avec ses 6 titres glanés cette saison (1 de moins que le Serbe), il a grapillé beaucoup de points. Et il l'a fait surtout depuis sa défaite en finale de Roland-Garros contre Djoko: victoires au Queen's, à Wimbledon, aux JO de Rio, à Pékin et à Shanghaï. Sa trajectoire est donc bien positive à l'heure d'aborder un tournoi qu'il n'a jamais gagné, mais dont il est finaliste en titre, battu l'an dernier en deux manches par un certain... Novak Djokovic.

Novak Djokovic : «Ça dépend aussi de moi»
Le 30/10/2016 à 17:25:45
http://www.lequipe.fr/Tennis/Actualites/Novak-djokovic-ca-depend-aussi-de-moi/743263#xtor=RSS-1


Avant de se lancer à la conquête d'un quatrième Masters 1000 de Paris d'affilée, Novak Djokovic a fait le point sur son état d'esprit et sur la course à la première place mondiale que lui livre Andy Murray, vainqueur à Vienne dimanche.[/h2]

«Ça vous fait quoi de vous retrouver à Paris, cinq mois après votre succès à Roland-Garros ?
Je suis très heureux d'être de retour dans une ville où j'ai de si bons souvenirs cette année. Je ressens de grandes émotions et ça "papillonne" dans l'estomac quand je repense à ce qui s'est passé la dernière fois que j'étais là.

Mais cette fois, vous êtes là sans aucun entraîneur , ni Marian Vajda, ni Boris Becker, alors que vous insistez souvent sur l'importance d'avoir votre équipe autour de vous. Pourquoi ces absences ?
A Miami, en mars, j'étais déjà sans Boris ni Marian... Mon équipe est large et les gens qui sont ici avec moi (préparateur physique, kiné...) en font aussi partie.

«Je me sens revigoré»

On ne vous a plus revu depuis votre défaite surprise en demi-finales à Shanghai, le 15 octobre, contre Roberto Bautista-Agut. Dans quel état d'esprit abordez-vous votre avant dernier tournoi de l'année ?
Je me sens revigoré et j'espère finir l'année aussi bien que ces dernières saisons (il a gagné les trois derniers Bercy et les quatre derniers Masters). Je me sens à l'aise dans les conditions indoor de Paris et de Londres. On n'est pas loin de la ligne d'arrivée et je vais essayer de sorti r le meilleur de moi-même.

Etes-vous impressionné par ce que fait Andy Murray depuis quelques mois ?
Sa seconde moitié d'année est incroyable. Il joue peut-être le meilleur tennis de sa vie, il est très constant, très fort. Il mérite d'être en position de finir l'année numéro un. Ça arrivera ou pas mais ça ne dépend pas que de lui, ça dépend aussi de moi.

La sauvegarde de votre place de numéro un, vous y pensez beaucoup ?
Je pense pouvoir parler en nos deux noms en disant qu'Andy et moi allons prendre les choses au jour le jour et qu'on va essayer d'aller le plus loin possible dans ce tournoi. J'ai déjà été dans cette position (de perdre la première place mondiale) dans le passé alors je sais ce que j'ai à faire. Il faut rester sur des choses simples.»

J'attends de voir ce que va faire pouille pendant ce tournoi, va-t-il ressentir la pression de jouer face à son public ?
Et Nole qui semble émoussé moralement va-t-il enfin se reprendre.

Vraiment dommage pour Gael mais bon j'espère que ça va lui permettre de prendre du temps et d'être en forme pour le Masters de fin d'année

ATP - BERCY • RAONIC : "JE PEUX JOUER UN TRÈS BON TENNIS"
Par Loïc Revol, dimanche 30 octobre 2016 à 17:14
http://www.welovetennis.fr/atp-paris-bercy/119178-raonic-je-peux-jouer-un-trs-bon-tennis

Bien qu'il se montre prudent sur l'état de sa cheville, Milos Raonic estime qu'il peut bien finir l'année 2016 avec le BNP Paribas Masters puis le Masters de Londres.

"Je pense que je joue le nombre minimum de tournois auxquels je dois prendre part et cela m’aide en ce moment. J’ai l’impression que je peux jouer un très bon tennis pour ces derniers tournois, surtout dans ces conditions « indoor »."

ils aiment bien se retrouver

Destinée a écrit:

J'attends de voir ce que va faire pouille pendant ce tournoi, va-t-il ressentir la pression de jouer face à son public ?
Et Nole qui semble émoussé moralement va-t-il enfin se reprendre.

Vraiment dommage pour Gael mais bon j'espère que ça va lui permettre de prendre du temps et d'être en forme pour le Masters de fin d'année

oui Gaël arrivera tout frais à Londres

Merci les filles

Allez Wawa, va voir le Mont Blanc, en automne, il est magnifique

Le tableau de Novak se dessine bien, dangereusement bien dessiné : les jeunes n'ont peur de rien !

Andy a beaucoup joué ces derniers temps, seule sa volonté de gagner
sera sa force. De côté là, il a la niaque notre Andy !

Et puis Paris aaaaaaaaaaaaaaadooooooooooooooore Nole

Stan Wawrinka : «La crise de Novak est gentille»
Le 31/10/2016 à 12:31:00 | Mis à jour le 31/10/2016 à 12:50:02 
http://www.lequipe.fr/Tennis/Actualites/Stan-wawrinka-la-crise-de-novak-est-gentille/743870

Demi-finaliste l'an passé à Bercy, Stan Wawrinka est de nouveau au rendez-vous du dernier Masters 1000 de la saison. Un mois et demi après sa victoire à l'US Open, il observe désormais la bagarre pour la place de numéro un mondial avec un oeil aiguisé.

«Vous aviez dit la semaine dernière à Bâle que vous n'étiez pas certain de venir à Bercy, finalement vous êtes là. Comment ça s'est passé ?
Je n'ai pas vraiment dit ça (rires). Concrètement j'avais quelques bobos la semaine dernière, c'est la raison pour laquelle quand on m'a demandé si j'allais jouer ici (à Bercy), j'ai répondu qu'a priori j'étais dans le tableau. Mais à partir du moment où je ne suis pas blessé, ça reste un tournoi très important pour moi, que j'apprécie énormément. C'est le dernier gros tournoi avant le Masters, et j'ai bien joué ici l'an dernier.

De l'intérieur, comment jugez-vous la bataille pour la place de numéro un mondial entre Novak Djokovic et Andy Murray ? C'est une situation qu'on ne prédisait pas après Roland-Garros...
C'est bien sûr très intéressant pour nous, les joueurs. Cela fait un peu plus d'un an qu'on sent qu'Andy se rapproche du niveau de Novak. Après Roland, il y avait beaucoup d'écart, mais depuis, Andy a été en finale de tous les tournois. Il a beaucoup moins de trous que par le passé et c'est encore plus vrai en cette fin de saison. En tant que joueur, je pense que ça va être sympa à suivre. Après, on dit que Novak a un gros trou, sauf qu'il n'a perdu que trois matches en trois tournois. Il sera quand même très dur à battre ici, comme Andy.

«Son niveau de jeu est encore là»

Mais Djokovic, vous l'avez eu en face de vous à l'US Open, et il ne semblait plus être le même joueur...
L'US Open était aussi un tournoi particulier pour lui. Il revenait de blessure et n'avait pas pu se tester avant. Puis il a eu un match difficile contre Gaël (Monfils, en demi-finale). Je pense que de toute façon, dès qu'il est motivé, il redevient extrêmement compétitif. Son niveau de jeu est encore là. Depuis Roland, il a perdu un match à Wimbledon, gagné à Toronto, été en finale à l'US Open et perdu un match à Shanghai. Ça ne fait pas beaucoup de défaites et je ne pense pas qu'il ait lâché cette fin d'année.

Avez-vous été surpris qu'il dise avoir perdu le plaisir et la motivation de jouer ?
Non, ça ne me surprend pas. Cela s'explique par tout ce qu'il a accompli ces dernières années, tout simplement. C'est normal qu'il ait eu quelques mois où il était un peu moins motivé. Et bien entendu, à ce niveau-là, vous perdez des matches que vous ne perdiez pas avant. Quand, à côté de ça, Andy gagne tout, forcément ça réduit l'écart. Mais même si on dit que Novak est en crise, il reste numéro un mondial, et au pire, il terminera deuxième, avec le double de points de moi qui suis troisième. Donc la crise, elle est gentille.»

R. W., à Bercy

Comment Paris-Bercy a retrouvé de son lustre
Le 31/10/2016 à 12:23:00 
http://www.lequipe.fr/Tennis/Actualites/Comment-paris-bercy-a-retrouve-de-son-lustre/743865

Le Masters 1000 de Paris-Bercy a débuté lundi avec en toile de fond la lutte pour la première place mondiale et celle pour l'obtention des deux derniers billets pour le Masters de Londres. Deux enjeux majeurs pour le tournoi parisien, qui, dix ans en arrière, était loin de susciter pareil engouement.

1. Une respiration retrouvée avec le Masters
En 2005, Bercy et le Masters se succèdent dans le calendrier toujours plus serré de l'ATP. Sur les sept premiers mondiaux, au 31 octobre, seuls deux font le déplacement jusqu'à Paris (Roddick et Coria). Une avalanche de forfaits (12 au total) s'abat sur l'organisation du tournoi. Le jeune Tomas Berdych (20 ans, 50e) s'impose en finale contre Ivan Ljubicic, une affiche loin de soulever la foule parisienne. Pas plus que la suivante (Davydenko-Hrbaty)...

En 2012, année de sa prise de fonction en tant que directeur de l'épreuve, Guy Forget doit à nouveau composer avec l'enchaînement Bercy-Masters : Nadal et Federer manquent à l'appel, et Djokovic, loin d'être impliqué à 100%, disparaît dès le premier tour. Là encore, la finale n'est pas très clinquante (Ferrer-Janowicz). «Rester collé au Masters est extrêmement dangereux pour nous», prévient Forget, qui suggère un changement de date (février plutôt qu'octobre) pour préserver l'intérêt du tournoi.

Depuis 2014, Paris-Bercy et le Masters sont à nouveau séparés d'une semaine, offrant au public français des finales plus relevées (Djokovic-Raonic puis Djokovic-Murray).

2. Un palmarès de nouveau « big »
Le prestige d'une épreuve se juge souvent à l'épaisseur de son palmarès : après les victoires de Becker (à trois reprises, dont en 1986, lors de la première édition), Edberg, Agassi ou Sampras, celui de Bercy a repris des couleurs et s'est remplumé avec les succès de Djokovic (quatre fois) et de Federer (en 2011), deux poids lourds de l'histoire du jeu.

3. De la moquette à la résine sur plancher
En 2007, les organisateurs de Bercy se décident à abandonner la surface d'origine de l'épreuve (moquette, un Taraflex bordeaux), de type «fast» et qui rebute alors plusieurs joueurs majeurs (dont Federer et Nadal), pour une résine apposée sur un parquet en bois. Nadal apprécie le changement, mais s'incline sèchement en finale contre Nalbandian (6-4, 6-0).

«Impossible de faire un coup gagnant du fond, c'est trop lent», peste Federer. Depuis, le tournoi n'a cessé de chercher la bonne formule, optant en 2010 pour du très rapide, avant de revenir à du plus lent, jusqu'à être, l'an dernier, le Masters 1000 le plus lent sur dur selon les calculs de l'ATP (CPI de 29,9 pour les initiés). Avec la volonté, ces dernières années, de proposer des conditions de jeu similaires à celles de Londres pour optimiser la transition. 

4. Un lifting de la salle
Fini le rouge patinoire au charme désuet du POPB (Palais omnisports de Paris-Bercy), place aux tons plus sombres mais plus modernes de l'AccorHotels Arena (20 3000 places), définitivement livrée l'an dernier. Un lifting qui participe au rayonnement retrouvé de l'épreuve.
 
5. Des Français qui brillent
Le scénario rêvé pour tout organisateur de tournoi, c'est évidemment le sacre d'un local. A Bercy, c'est arrivé en 1991 (Forget, finaliste en 1992) puis en 2001 (Grosjean). Jo-Wilfried Tsonga, en 2008, a été le troisième joueur français à glaner le Masters 1000 parisien.

Lors des trois éditions suivantes, il y a toujours eu un Tricolore en finale : Monfils, deux fois (2009 et 2010), puis Tsonga (2011). De quoi nourrir l'intérêt du public tout au long de la semaine. Depuis 2012 (Simon et Llodra en demies) en revanche, aucun Français n'a intégré le dernier carré. Fin de l'absence ce samedi ?

F.M., à Bercy

Pablo Carreno-Busta rejoint Milos Raonic au deuxième tour du Masters 1000 de Paris-Bercy
Le 31/10/2016 à 12:11:00 | Mis à jour le 31/10/2016 à 12:17:13
http://www.lequipe.fr/Tennis/Actualites/Pablo-carreno-busta-rejoint-milos-raonic-au-deuxieme-tour-du-masters-1000-de-paris-bercy/743860

Pablo Carreno-Busta a déroulé face à Fabio Fognini pour son premier tour du Masters 1000 de Paris-Bercy (6-3, 6-1). Il retrouvera Milos Raonic au deuxième tour.

Pablo Carreno-Busta a confirmé sa bonne forme du moment. Récent vainqueur du tournoi de Moscou contre Fabio Fognini, l'Espagnol a une nouvelle fois dominé l'Italien au premier tour du Masters 1000 de Paris-Bercy (6-3, 6-1 en 53'). Carreno-Busta a rapidement pris la mesure de Fognini, réalisant le break d'entrée dans les deux sets. En seizièmes de finale, il retrouvera le Canadien Milos Raonic, exempté de premier tour en raison de son statut de tête de série n°4.