CARLOS ALCARAZ

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Carlos Alcaraz


@alcarazcarlos03

·
Jan 17, 2020
Hola a todos aqui os dejo el link del reportaje que me hicieron

Les Espagnols à l'honneur 

Badosa Alcaraz

Tennis: Carlos Alcaraz à toute vitesse
Publié le  09/05/2022 à 17:50  | Mis à jour le  09/05/2022 à 17:50

https://www.lanouvellerepublique.fr/sports/tennis-carlos-alcaraz-a-toute-vitesse



L'Espagnol Carlos Alcaraz après sa victoire en finale du tournoi de Madrid face à l'Allemand Alexander Zverev, le 8 mai 2022
AFP


L'Espagnol Carlos Alcaraz, en finale du tournoi de Madrid, le 8 mai 2022
AFP


Novak Djokovic après sa défaite contre Carlos Alcaraz, à Madrid, le 7 mai 2022
AFP


Les Espagnols Carlos Alcaraz et Rafael Nadal avant leur quart de finale à Madrid, le 6 mai 2022
AFP

En cinq semaines, Carlos Alcaraz s'est offert ses deux premiers titres en Masters 1000 et vient de faire tomber à Madrid trois des quatre meilleurs joueurs mondiaux, dont Rafael Nadal et Novak Djokovic. De quoi méditer sur les armes du phénomène espagnol à deux semaines de Roland-Garros.

. Une réussite précoce
Le tennis mondial savait depuis un moment, qu'avec Alcaraz, il tenait un talent particulièrement prometteur. Ce qui est épatant, c'est la trajectoire explosive du jeune Espagnol depuis huit mois.
Il y a un an, le protégé de Juan Carlos Ferrero, ex-N.1 mondial et lauréat de Roland-Garros, ne pointait pas encore dans le top 100.
Douze mois plus tard, il a bondi à la sixième place mondiale. Quand il est entré dans le top 10 le 25 avril, il était le plus jeune à s'y faire une place depuis Nadal, 17 ans plus tôt exactement.
Ses trois plus gros coups d'accélarateur ? Premier quart de finale majeur à l'US Open en septembre dernier, premier Masters 1000 à Miami début avril, et tout frais doublé Barcelone-Masters 1000 de Madrid, soit dix matches remportés d'affilée, série en cours. Et surtout, deux premières victoires contre Nadal et Djokovic, du jamais-vu dans un même tournoi sur ocre.
Même son entraîneur est époustouflé: "Ca va de plus en plus vite, souffle-t-il à L'Equipe. Il emjambe les marches quatre à quatre."
"Ces deux matches vont l'aider à croire qu'il peut accomplir de grandes choses", ajoute Ferrero.
. La tête et les jambes
Ce qui est bluffant avec Alcaraz, c'est sa capacité hors norme à se montrer déjà à la hauteur jusque dans les moments les plus cruciaux, quand la tension est à son maximum.
"Il a très bien tenu ses nerfs. Jouer avec autant de maturité et de courage à son âge, c'est impressionnant", admirait Djokovic, renversé après 3h35 min de combat samedi.
Invité à identifier les éléments clés de sa réussite, le Murcien cite sa forme physique et son mental. "Le mental, c'est le plus important. J'ai beaucoup grandi dans ce domaine, estime-t-il. C'est pour ça que j'en suis là aujourd'hui, que je joue à ce niveau et que je suis capable de gagner des grands matches."
Sa recette ? "Jouer pour gagner, c'est mon ADN", résume "Carlitos", dont la palette de jeu, entre autres ses amorties d'exception et ses coups droits supersoniques, est impressionnante.
"Je veux me distinguer en allant chercher le match. Je veux être agressif. (...) Me dire au moins que j'ai osé. C'est dans ces moments-là qu'on voit la différence entre un bon joueur et un +top joueur+ comme Djokovic, +Rafa+, Federer", explique-t-il.
. Motivation oui, pression non
En plus de ne pas avoir froid aux yeux en match, Alcaraz n'hésite pas non plus quand il s'agit d'affirmer ses ambitions.
"Je me sens prêt à rivaliser avec (Nadal et Djokovic) dans tous les tournois, sur toutes les surfaces, assumait-il après les avoir dégommés coup sur coup sur la terre battue madrilène. En Grand Chelem, avec les matches en cinq sets, c'est totalement différent, mais je crois que je suis prêt."
Une fois le trophée entre les mains, "c'est vrai que les gens vont faire de moi un favori pour Roland-Garros, constatait-il. Mais je le prends comme une source de motivation, pas de pression."
. Le bon timing ?
Et si, en plus de ses immenses qualités intrinsèques, Alcaraz déboulait au bon moment ?
Malgré tout, le "Big 3" vieillit et - en ce moment en tout cas - n'est pas (encore ?) l'épouvantail qu'il a été. Nadal revient d'une énième blessure (fracture de fatigue à une côte en mars) et Djokovic a passé le premier trimestre à l'arrêt ou presque, faute de vaccination contre le Covid-19. Et Roger Federer, 41 ans début août, n'a plus joué depuis bientôt un an.
Quant à la génération intermédiaire, celle des Daniil Medvedev - opéré d'une hernie début avril -, Stefanos Tsitsipas ou encore Zverev, elle ne s'impose pas aussi fermement qu'on aurait pu l'attendre, à l'exception du Russe.
Tous sont prévenus: "J'ai très envie d'aller à Paris, de me battre pour gagner un Grand Chelem. ", les défie à distance Alcaraz.

Tennis : cinq choses à savoir sur Carlos Alcaraz, nouveau numéro un mondial
https://www.la-croix.com/Sport/Tennis-cinq-choses-savoir-Carlos-Alcaraz-nouveau-numero-mondial-2022-09-12-1201232829
Les faits
Corentin Lesueur, le 12/09/2022 à 12:29
En remportant l’US Open le 11 septembre, l’Espagnol de 19 ans est devenu le plus jeune numéro un mondial de l’histoire du tennis. Le dernier d  e ses records de précocité.
Numéro 1
En remportant son premier titre du grand chelem à New York, le 11 septembre, l’Espagnol a pris dès le lendemain la tête la tête du classement ATP. Il devient, à 19 ans, le plus jeune joueur à atteindre la place de numéro un mondial depuis août 1973 et la création de la hiérarchie.
À lire aussiUS Open : l’avènement de Carlos Alcaraz, nouveau roi du tennis mondial
Il devance désormais dans les records de précocité l’Australien Lleyton Hewitt (20 ans et 9 mois en 2001), le Russe Marat Safin (20 ans et 10 mois en 2000) et l’Américain John McEnroe (21 ans et 1 mois en 1980).

► 14 ans

Plus jeune leader du tennis mondial, Carlos Alcaraz n’est pas pour autant un petit nouveau sur le circuit. L’Ibère a fait ses débuts chez les professionnels à seulement 14 ans, au tournoi Futures (3e division, antichambre de l’ATP) de Murcie. Il gagnera deux matchs, à deux pas de sa commune natale, El Palmar.

► 7,39 millions $

Après sa victoire à l’US Open – et le chèque de 2,6 millions de dollars promis au vainqueur – Carlos Alcaraz prend aussi la tête des gains annuels en tournois. L’Espagnol cumule désormais plus de 7,39 millions de dollars (7,3 millions d’euros) en 2022 de « prize money » – sans compter les revenus tirés de ses contrats de sponsor. Il précède son compatriote Rafael Nadal (6,69 millions) et Casper Ruud (4,64 millions), finaliste malheureux à New York.

► « Big four »

Depuis février 2004, Carlos Alcaraz est le deuxième joueur seulement à atteindre la première place mondiale sans être issu du « Big four » (Roger Federer, Rafael Nadal, Novak Djokovic, Andy Murray). Avant lui, le russe Daniil Medvedev – numéro un pendant seize semaines en 2022 – était le premier à s’être immiscé parmi les quatre légendes, qui cumulent ensemble 933 semaines en tête du classement et 66 titres du Grand chelem.

En mai dernier, lors du « masters 1 000 de Madrid », l’Espagnol avait été le premier joueur à battre Rafael Nadal et Novak Djokovic lors d’un même tournoi sur terre battue. L’Espagnol et le Serbe ayant remporté respectivement 14 et 2 fois Roland-Garros, plus prestigieuse compétition sur la surface ocre.

► Trop vieux

Abonné aux records de précocité, Carlos Alcaraz est pourtant déjà trop vieux pour effacer des tablettes ses prédécesseurs dans les quatre tournois Grand chelem, summum du tennis. À 19 ans et 4 mois, le Murcien ne pourra jamais faire mieux que Mats Wilander (vainqueur de l’Open d’Australie en 1983 à 19 ans et 111 jours), Pete Sampras (US Open 1990 à 19 ans et 28 jours), Boris Becker (Wimbledon 1985 à 17 ans et 228 jours) et Michael Chang (Roland-Garros 1989 à 17 ans et 110 jours).

ATP : Nadal et Alcaraz reçus par le roi d'Espagne
https://sports.orange.fr/tennis/atp/article/atp-nadal-et-alcaraz-recus-par-le-roi-d-espagne-exclu-CNT000001SGCtr.html

Les deux superstars du tennis espagnol ont eu droit aux honneurs officiels cette semaine. Rafael Nadal, plus particulièrement, a même reçu un prix et en a profité pour assurer qu'il ne comptait pas mettre un terme à sa carrière de sitôt.

Mercredi, c'était au tour de Carlos Alcaraz d'être reçu par le roi, décidément très tennis cette semaine



Le nouveau vainqueur de l'US Open a parlé d'un "privilège" et risque d'être reçu plusieurs fois encore, au cours de sa
CARRIÈRE

De retour après une longue blessure, Alexander Zverev s'est penché sur le parcours du numéro 1 mondial espagnol.
https://urlz.fr/k7LS

En septembre dernier, Carlos Alcaraz faisait sensation en remportant l'US Open en battant le Norvégien Casper Ruud en finale, à seulement 19 ans. Une victoire en Grand Chelem, sa première, qui a fait du joueur espagnol le plus jeune numéro 1 mondial. Une performance à laquelle a réagi l'actuel numéro 12 mondial, Alexander Zverev, dans une interview à Eurosport.

« C'était le meilleur joueur de New York »

« Ce n'est pas vraiment surprenant. J'ai joué contre lui pour la première fois à Acapulco en 2021. J'ai déjà dit : ''Il va être fou, il va être un joueur incroyable''. Pour être honnête, il l'est », explique l'Allemand, qui a fait son retour en Arabie Saoudite après plusieurs mois de blessure. « Il y avait beaucoup de facteurs en jeu, Novak Djokovic n'était pas à l'US Open, Rafael Nadal n'était peut-être pas à 100%, Daniil Medvedev après sa blessure au dos et son opération n'était pas tout à fait là où il était soit en dernier année avec son tennis. Alors il a tenté sa chance. Chapeau ! C'était le meilleur joueur de New York. Il a prouvé qu'il était froid »

Carlos Alcaraz : “Je n’arrive toujours pas à y croire”
https://www.arabnews.com/node/2214321/sport

Lorsque Carlos Alcaraz a soulevé le trophée de l'US Open à New York et est devenu le plus jeune numéro un mondial de l'histoire de l'ATP, l'Espagnol a déclaré que c'était un rêve devenu réalité.

Carlos Alcaraz a connu une saison 2022 merveilleuse avec un premier titre en Grand Chelem et une place de numéro un à l'ATP. (AFP) AFP or licensors

Trois mois plus tard, le jeune homme de 19 ans a l'impression de toujours rêver, car il admet qu'il n'a pas encore complètement réalisé

"Cela ressemble à un rêve pour moi. Honnêtement, il y a tellement de fois où je pense à cette année, à ma position actuelle, et je n'arrive toujours pas à y croire. Je me dis : 'Est-ce que c'est réel ? Je suis n ° 1 mondial? Je rêve. C'est quelque chose que je dois réaliser un jour », a déclaré Alcaraz à Arab News dans une interview avant ses débuts au Championnat du monde de tennis de Mubadala.

L'une des raisons possibles pour lesquelles Alcaraz n'a toujours pas pleinement compris ses réalisations est qu'il n'a même pas eu le temps de célébrer. "Je vais avoir un dîner d'équipe avec tout le monde, ça va être le meilleur moment de l'année", a-t-il déclaré.

Le manège tennis s'arrête à peine, tournant à une vitesse impitoyable, laissant peu de chance aux joueurs de prendre un moment pour apprécier leurs victoires ou pleurer leurs défaites.
Le lendemain du jour où Alcaraz a remporté sa première couronne du Grand Chelem à New York, il a sauté dans un avion pour Valence pour rejoindre ses coéquipiers espagnols à la Coupe Davis.
Il a ensuite concouru à Astana, Bâle et Paris, avant de se retirer de ses deux dernières épreuves de la saison en raison d'une déchirure musculaire à l'abdomen gauche.

Il s'est "presque à 100%" remis de sa blessure et s'attend à s'entraîner "normalement" d'ici une semaine.

"J'ai eu tellement de tournois et je n'ai pas eu le temps de réaliser à 100% l'US Open. Bien sûr, c'était un sentiment formidable pour moi. Tout ce que je peux dire, c'est que rien n'a changé », a déclaré Alcaraz lorsqu'on lui a demandé ce que cela faisait d'être un champion du Grand Chelem et le meilleur joueur masculin lors d'événements après l'US Open.

Pour lui, la tournée a continué et il a juste essayé de suivre.
"Évidemment oui, tout le monde veut battre le n°1 mondial. Je pouvais sentir qu'après l'US Open, tout le monde avait une cible sur moi et tout le monde voulait m'affronter sur le court. C'est à cela que je dois me préparer", a-t-il ajouté.

Alcaraz a un dossier de 6-4 victoires-défaites après l'US Open, dont une paire de défaites contre Felix Auger-Aliassime, une sortie au premier tour contre David Goffin à Astana et un abandon en quarts de finale du Masters de Paris contre l'éventuel champion Holger Rune.

"Après l'US Open, c'était difficile pour lui de s'adapter à son nouveau rôle sur le circuit", a expliqué l'entraîneur d'Alcaraz, l'ancien n°1 mondial Juan Carlos Ferrero.

«Je lui parlais de la façon dont il devait tout gérer mais je pense qu'il avait besoin de ressentir et de le vivre, d'aller à un tournoi et de ressentir cette pression d'être n ° 1, de jouer des matchs en étant n ° 1. Ce n'est pas très facile au début et à l'âge de 19 ans, c'est quelque chose qui n'est pas super mature pour contrôler tout ce qui lui arrive en ce moment.

"Il est dans un moment où il a besoin de le vivre comme ça et de ressentir ce qu'il traverse et de s'adapter. Il sait que ça va être comme ça jusqu'à au moins l'Open d'Australie, donc il doit essayer d'être normal mais en même temps ce n'est pas le cas. Mais il doit le faire.
Alcaraz dit qu'il est tout à fait prêt à perdre sa place de n ° 1, compte tenu de la concurrence féroce au sommet et de la pression de défendre cinq titres l'année prochaine. Mais l'adolescent espagnol souligne qu'il ferait tout pour "récupérer le nombre", notant que les tournois du Grand Chelem seraient à nouveau son objectif principal pour 2023.

Si Alcaraz est toujours à court d'inspiration sur la façon de naviguer sa première année en tant que n ° 1 mondial, il ne pourrait peut-être pas chercher plus loin que le circuit féminin, où Iga Swiatek a prospéré au sommet.

Une chose qu'Alcaraz a en commun avec Swiatek est à quel point ils croient en l'importance de la psychologie du sport dans leur profession.

Swiatek a une psychologue du sport itinérante, Daria Abramowicz, avec elle lors de la majorité de ses événements et le travail qu'ils font ensemble s'est avéré être un véritable changement pour elle.

Alcaraz travaille avec une psychologue du nom d'Isabel Balaguer et Ferrero dit que l'équipe bénéficie grandement de son expertise et qu '"elle est un côté important et important de notre travail".

« Cela fait environ deux ans qu'il travaille avec elle. Ce n'est pas comme toutes les semaines, mais chaque fois qu'il sent qu'il a besoin de lui parler de quelque chose qui ne va peut-être pas bien ou de quelque chose qui lui cause plus de problèmes dans un match, il lui parle et essaie d'arranger ça un peu. dit Ferrero.

« Je lui parle chaque semaine. Elle me parle de comment il va, comment il s'entraîne et de toutes les choses dont nous avons parlé qu'il a vécues après l'US Open, nous essayons de gérer tout le package, donc elle travaille très bien.

Ferrero et Alcaraz travaillent ensemble depuis fin 2018 et ont noué un lien particulier. L'ancien champion de Roland-Garros voit Alcaraz comme "un autre fils" et a le sentiment qu'ils partagent les mêmes valeurs.

La Polonaise de 21 ans s'est brusquement hissée en tête du classement lorsqu'Ashleigh Barty a annoncé sa retraite surprise du sport en mars.

Swiatek a saisi l'opportunité à deux mains et a couru avec, enchaînant une séquence de 37 victoires consécutives sur une période de cinq mois avant de perdre au troisième tour de Wimbledon en juillet.

"Je vois que son année a été incroyable, elle a battu un record, je pense, pour la plus longue séquence de victoires (de ce siècle). C'est incroyable », a déclaré Alcaraz à propos de Swiatek.

"Je souhaite être comme elle, ne pas perdre la n°1. Mais je pense que c'est presque impossible. Je vais le perdre mais le but est de le récupérer et de rester n ° 1 autant que possible.

L'ascension fulgurante d'Alcaraz s'est accompagnée d'un incroyable degré de popularité, tant en Espagne qu'à travers le monde. Son énergie contagieuse, son style de jeu passionnant et son humilité sur et en dehors du terrain ont pris d'assaut le monde du tennis – et la foule bruyante du stade Arthur Ashe qui a rugi lors de ses matchs de l'US Open à l'automne en témoigne.

"C'est très spécial pour nous, je suis très heureux de la façon dont les gens l'aiment et je pense que c'est à cause de sa force sur le terrain et de sa passion et de sa façon de dire 'vamos', je pense que les gens ressentent ce potentiel en lui et ce genre de passion », a expliqué Ferrero.

"Je me souviens depuis le moment où j'ai commencé à travailler avec lui, nous voyagions à travers le monde quand il avait 16 ou 17 ans, même à ce moment où il n'était pas si célèbre, il était très charismatique lors des tournois, tous les gens étaient aller là-bas pour regarder Carlos sur le terrain. Ça ne me surprend pas trop de voir tout le monde l'aimer, il sourit, il est très gentil avec tout le monde, c'est un mec sympa."

Ferrero remercie la famille d'Alcaraz pour la façon dont sa charge se gère et pour ne pas avoir mis de pression sur lui.

"Carlos a de la chance pour la famille qu'il a. Son père… a joué au tennis en Espagne à un très haut niveau, il était dans le top 30, il est donc capable de comprendre comment son fils doit travailler avec l'entraîneur », a déclaré Ferrero.

«Je suis ici à l'académie, il l'a laissé grandir et ne pas être impliqué absolument dans tout. Je pense que son père me fait confiance depuis le début et il me laisse travailler dans tous les domaines . Nous avons une très bonne relation. »

Ferrero se rendra bientôt à Abu Dhabi avec Alcaraz, où l'Espagnol affrontera Andrey Rublev ou Frances Tiafoe lors de son match d'ouverture le vendredi 17 décembre.

Le tournoi d'Abu Dhabi leur donnera l'occasion d'utiliser les superbes installations d'entraînement de Zayed Sports City, de se mesurer aux autres meilleurs joueurs de l'événement et de concourir dans un cadre de match réel.

Ferrero sait que 2023 nécessitera une énorme quantité de travail d'Alcaraz pour maintenir sa place parmi l'élite du jeu. « Il doit travailler sur tout. Il a 19 ans, l'année prochaine il aura 20 ans, mais à cet âge-là, il est impossible d'être complet dans tous les domaines », a déclaré l'entraîneur de Valence.

"Alors disons coup droit il doit travailler sur des petits détails, revers aussi, bien sûr il doit être plus régulier au service, au retour je veux qu'il soit encore plus agressif, sur le filet il a besoin de nettoyer un peu peu certaines des erreurs qu'il fait. J'ai préparé la fin de saison très précisément pour essayer d'améliorer beaucoup de chose

"Vous ne pouvez pas dire à quelqu'un que juste parce qu'il est n°1 qu'il est très complet et qu'il n'a pas besoin de travailler, c'est absolument le contraire. Il doit continuer à travailler dans tous les domaines dont il a besoin, et c'est ce que nous allons faire.

Ferrero, coach d’Alcaraz : « Quand Carlos est arrivé à l’aca­démie pour la première fois à 15 ans, c’était un bâton, il était rapide mais n’avait pas de muscles »
https://urlz.fr/k8OJ
Par  Thomas S

Élu entraîneur ATP de l’année 2022 par ses pairs, Juan Carlos Ferrero, qui a vécu une saison exceptionnelle aux côtés de son joueur, Carlos Alcaraz, a tenu à revenir sur le jour où il a travaillé pour la première fois avec le plus jeune numéro un mondial de l’histoire. 
« Quand il est arrivé à l’académie pour la première fois à 15 ans, c’était un bâton, il était rapide mais n’avait pas de muscles. Malgré cela, nous avons vu quelque chose de très spécial. Son ascension est arrivée très vite, c’est une surprise pour tout le monde, sauf pour moi, parce que je m’entraîne avec lui tous les jours et je sais ce qu’il peut faire. J’étais sûr que si ce n’était pas cette année, ce serait la suivante. Maintenant, nous voulons continuer. »

Carlos Alcaraz se tatoue les 3 C(tête,coeur et co..)
https://www.marca.com/tenis/2022/12/23/63a5cbe4e2704e9e348b45b2.html

La maxime que lui a inculquée son grand-père est "écrite" sur son bras gauche


Carlos Alcaraz, durante la sesión de tatuajeInstagram

Comme il est naturel, l'année de l'explosion de Carlos Alcaraz, l'intérêt du joueur de tennis d'El Palmar n'a pas seulement résidé dans ses performances sur le court, mais aussi dans tout ce qui touche à sa personnalité, tennistique et humaine.
Or, chez un athlète professionnel, il y a toujours le fait que l'un fait plus ou moins partie de l'autre. Ainsi, Carlos a déjà avoué dans ses premiers instants triomphants que sa prestation sur la piste provient, en partie, d'une "influence familiale".
"Mon grand-père m'a toujours dit de me concentrer sur les 'Trois C' : la tête, le cœur et les couilles", a-t-il avoué la veille de remporter sa première victoire, le Masters 1000 de Miami. Depuis, ce qui était une référence privée est devenu sa devise.
Et il l'a inclus, sous forme d'émoticônes, dans sa célébration de l'US Open sur les réseaux sociaux.
Maintenant, il est allé un peu plus loin et les a tatoués sur son bras gauche, bien que seulement les initiales de chaque mot, en laissant un témoignage sur les réseaux sociaux.

Alors que la saison 2022 touche à sa fin, le numéro 1 mondial laisse derrière lui la preuve physique qu'il restera fidèle aux valeurs qui l'ont mené au sommet.

Bonne règle les 3 C

mais pas le palmarès pour le moment

oui sacré chantier en vue