Ces dernières semaines, Garbine Muguruza est très football. Après avoir remis un trophée à Leo Messi, la joueuse espagnole était en visite du côté de la Real Sociedad (San Sebastian), au Pays Basque, ce dimanche. La numéro 3 mondiale a ensuite donné un coup d'envoi fictif de la rencontre entre la Real Sociedad et Eibar. Un lieu pas anodin puisque son papa est Basque !
Interrogée par la presse australienne, Garbine Muguruza a analysé le fonctionnement de son sport, pointant du doigt le fait que les choses bougent très rapidement pour elles et ses collègues. Tout en affichant de grandes ambitions pour la suite de sa carrière...: "Dans le tennis, tout évolue rapidement. Il y a deux ans, je me battais pour arriver dans le Top 100. Puis, dans un laps de temps aussi court, me voilà dans le Top 5. Mais ça n'arrive qu'à moi ! Pour bon nombre de joueuses, vous les voyez au top, puis vous ne le voyez plus... Et elles reviennent sur le devant de la scène ! Je pense que c'est ainsi que le sport fonctionne. Vous vous devez d'être plus solide et régulier... Mon rêve, c'est de remporter un tournoi du Grand Chelem. Vous travaillez toujours pour ça, mais c'est très compliqué !"
Garbine Muguruza sera t-elle prête pour l'Open d'Australie, première levée en Grand Chelem de la saison ? L'Espagnole, qui débutera l'année à Brisbane, a reconnu auprès de Fox Sports qu'elle avait vécu une intersaison assez compliquée : "J'ai connu une pré-saison difficile en raison de différents problèmes, c'est pour cela que je suis arrivée plus tôt afin d'être prête."
On espère rien de grave.
tipou
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Sujet: Re: GARBINE MUGURUZA (Espagnole) Ven 1 Jan 2016 - 11:29
Ah mince, j'espère aussi rien de grave
tipou
Messages : 150808 Date d'inscription : 05/12/2011
Sujet: Re: GARBINE MUGURUZA (Espagnole) Sam 16 Jan 2016 - 12:47
Troisième mondiale à 22 ans, Garbiñe Muguruza a explosé l'an dernier, atteignant la finale à Wimbledon. Avec son jeu très agressif et sa forte personnalité, l'Espagnole dispose de solides arguments pour devenir la future grande du circuit.
Une double culture Née à Caracas d’une mère vénézuélienne et d’un père espagnol, Garbiñe Muguruza a fait un choix important. Elle a porté les couleurs ibériques en Fed Cup face à la Roumanie et elle pourrait bien jouer le mixte avec Rafael Nadal aux JO de Rio. «Ça me plaît d’être entre deux pays. J’ai aimé le soutien que j’ai reçu du Venezuela, je n’oublierai pas ce qu’ils ont donné à ma famille et à moi pour être où je suis aujourd’hui en tennis», a-t-elle déclaré dans El Pais. Ce n’est visiblement pas de la diplomatie selon Sam Sumyk, son entraîneur depuis septembre : «Les gens d’Amérique latine ont cette faculté de lâcher prise. Une petite blague, un peu de musique et le corps et l’esprit se laissent aller, toujours avec le sourire. Ils ont les mêmes soucis qu’en France ou ailleurs mais pendant cinq ou dix minutes, tout le monde oublie et l’esprit de fête ressort puis on repart dans notre quotidien. Son côté espagnol, c’est d’aller bouffer à dix heures du soir…»
La fille de Miami Bien avant d’être révélée au grand public par sa victoire tonitruante (6-2, 6-2) contre son modèle Serena Williams à Roland-Garros en 2014 et sa finale à Wimbledon l’an dernier (perdue contre la numéro 1), l’Espagnole a attiré l’attention à Miami. Bénéficiaire d’une wild-card en 2012, elle avait battu Vera Zvonareva (9e mondiale) et Flavia Pennetta (26e) alors qu’elle n’était que 208e et n’avait que dix-huit ans. L’année suivante, elle avait récidivé en surprenant Anastasia Pavlyuchenkova (25e) et Caroline Wozniacki (9e). Puis tranquillement mais sûrement, elle a montré son talent sur toutes les surfaces avec un quart sur la terre battue de Roland-Garros en 2014, une finale sur le gazon de Wimbledon en 2015, un premier titre sur dur extérieur à Hobart en 2014 et une demi-finale au Masters l’an dernier en indoor.
Un tempérament Elle n’a pas peur de dire ce qu’elle pense. Dans une interview à El Pais en décembre, elle a affirmé : «Les garçons sont différents, mais les joueuses se détestent toutes. Celles qui vous diront le contraire seront des menteuses. » Son coach voit en elle beaucoup de similitudes avec une de ses anciennes élèves, Vera Zvonareva (2e mondiale) qui n’abreuvait pas le monde de banalités et ne jouait pas aux ‘’fifilles’’ : «Je crois qu’elle a déjà compris beaucoup de choses. Elle est brillante. Elle sent très bien les choses arriver et ça ce n’est pas donné à tout le monde. Elle a un très fort caractère et une âme d’étudiante. Elle s’intéresse à tout le processus de l’entraînement : qu’est-ce qui est mis en place ? Pourquoi on le fait ? C’est quoi l’objectif ? Je pense qu’elle s’intéresse à tout et elle a une qualité c’est qu’elle s’intéresse à toi.»
Le tilde et la visière Appelez-là «Garbiñe», à prononcer «garbigné». Elle y tient. Selon elle, son nom est trop compliqué pour les Anglais et les Français notamment alors elle préfère qu’on l’appelle par son prénom. Mais il ne faut surtout pas oublier le tilde. Sur le court, elle a aussi son petit secret, sa visière. Comme Justine Henin et sa casquette, l’Espagnole se sert de sa visière comme «d’une protection» pour s’extraire du monde extérieur et avoir l’impression de voir sans être vue. «J’ai besoin de me mettre une carapace parce que je suis très sensible, mais en même temps mon émotivité fait que mon jeu est un peu différent des autres», ne cache-t-elle pas.
Son jeu Du haut de son 1,82m, elle envoie du lourd au service et reste sur sa ligne pour imposer une cadence d’enfer. «Elle sait jouer au tennis, faire beaucoup de choses, elle a le sens du jeu, elle a un répertoire assez important, explique son entraîneur. J’espère qu’on fera du très bon travail et qu’on réussira à exploiter toutes ses qualités car il y en a beaucoup.» Complète et polyvalente, elle a déjà des fondations très solides et n’hésite pas à jouer le double (16e mondiale) avec Carla Suarez-Navarro pour peaufiner son jeu d’attaque. Très agressive, elle est très loin du jeu à l’Espagnole de ses aînées, Arantxa Sanchez ou Conchita Martinez. «Ce qui me plaît, c’est d’être Garbiñe.»
Sophie DORGAN
jeusetmatch
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Sujet: Re: GARBINE MUGURUZA (Espagnole) Sam 16 Jan 2016 - 15:46
bel éloge, maintenant il faut faire des étincelles
Garbine Muguruza (5e) entre en lice au tournoi WTA de Dubaï cette semaine. La numéro une espagnole a profité de son arrivée dans l'émirat pour se confier aux médias locaux sur le fait, nouveau pour elle, d'être célèbre et d'être le centre de l'attention. "Je ne pense pas avoir changé ma nature, a déclaré la n°5 mondiale. Je suis la même fille. Je ne pense pas que la célébrité va me pousser à changer. Mais j'ai vu le phénomène chez certaines filles, surtout quand elles sont jeunes. J'ai beaucoup de choses à gérer, mais je ne voudrais changer de position pour rien au monde". Pour Muguruza, le sens des responsabilités est primordial lorsqu'une joueuse atteint un tel classement : "J'ai atteint un classement spectaculaire. Être à cette place, bien jouer, être acclamée, cela génère plus de pression, plus d'attentes, et pas uniquement en moi, mais pour beaucoup de gens", s'est exprimée l'Espagnole. En outre, elle a de nouveau évoqué les Jeux Olympiques de Rio en 2016 et la possibilité de coopérer avec Rafael Nadal, ce qui serait un rêve : "Ce serait incroyable. Je serais très nerveuse, bien sûr. Je ne sais pas si cela va se produire, mais clairement j'y pense actuellement." Et elle a des raisons d'espérer car Nadal avait déclaré en décembre dernier que "Garbine [Muguruza] avait réalisé une très bonne année 2015 et serait un très bon choix" pour le double mixte à Rio. Mixte ou non, Garbine Muguruza pourrait se qualifier à Rio en simple et en double féminin en raison de son classement. "Je suis très impatiente à l'idée de disputer mes premiers Jeux Olympiques. Je ne sais rien à propos de mixte, je sais juste qu'il y a des joueuses qui en parlent... Nous verrons au dernier moment, je suppose. Mais oui, je suis impatiente d'y aller et d'apporter quelque chose à l'Espagne ", a-t-elle conclu.
Le tennis féminin continue de faire parler de lui. Cette fois-ci, c'est Garbiñe Muguruza (22 ans, 4ème joueuse mondiale) qui s'est exprimé dans les colonnes du quotidien espagnol El Mundo. La numéro une espagnole est revenue sur son début de saison et ses ambitions, mais également sur le sexisme dans le tennis féminin ainsi que sur le dopage. La retranscription de l'entretien ci-dessous.
Garbiñe Muguruza est peut-être la future numéro une mondiale, c'est en tout cas l'une des figures importantes du tennis féminin. A 22 ans, la numéro une espagnole et numéro quatre mondiale n'a pas connu un début de saison à la hauteur de ses attentes. Victorieuse le week-end dernier avec l'équipe d'Espagne de Fed Cup face à l'Italie, la native de Caracas au Vénézuela retrouve confiance et ambition en ce printemps de terre battue. "Je suis très ambitieuse. Je ne sais pas si je serais numéro une mondiale à l'avenir mais je vais tout faire pour. Les gens me voient comme l'héritière idéale de Serena Williams. Je ne m'en plains pas", a d'abord expliqué la finaliste de Wimbledon en 2015. Rien que ça. Un niveau de confiance au beau fixe et une assurance caractéristique de la joueuse.
"Toute cette pression, c'est exaspérant"
Interrogée ensuite sur le sexisme ambiant dans le tennis professionnel, Garbiñe Muguruza estime que "malheureusement, les jambes et les jupes" des joueuses "vendent mieux le tennis féminin que les coups gagnants. C'est de mieux en mieux avec le temps. Mais je souhaite que nous puissions arriver rapidement à l'égalité, à la normalité, et que les gens parleront des joueuses pour leurs performances, et non uniquement sur le physique." Il y a quelques mois, la numéro une espagnole avait fait part du mauvais état des relations entre les joueuses du circuit féminin, et elle confirme ses propos aujourd'hui, expliquant même que "certaines joueuses se haïssent". "J'ai beaucoup d'amies sur le circuit, mais c'est difficile de bien s'entendre dans le temps car nous nous retrouvons tôt ou tard les unes en face des autres sur le court. On a besoin d'être bien entourée : je parle de personnels, entraîneurs, famille, parce que toute cette pression, c'est exaspérant", confie la joueuse qui devrait disputer le double mixte avec Rafael Nadal lors des prochains Jeux olympiques à Rio cet été.
"Ce n'est pas juste d'accuser quelqu'un sans preuve"
Prête à donner son avis sur tous les sujets qui touchent le monde de la balle jaune, Garbiñe Muguruza s'est d'ailleurs épanchée sur le dopage dans le tennis. "Je suis en faveur de contrôles possibles à tout moment, qu'importe le classement de l'athlète. Le ou la n°1 au même titre que le ou la 200e mondial(e). Le test positif de Maria Sharapova a été une onde de choc. Pour moi, c'était une référence et quand elle a admis avoir utilisé ce médicament, c'était vraiment surprenant", a d'abord déclaré la championne espagnole, qui n'a jamais caché que la Russe était l'une de ses modèles quuand elle était plus jeune. "C'est la preuve que le fonctionnement du système est très critiqué. Lire les allégations contre Rafael Nadal m'a dérangé. Ce n'est pas juste d'accuser quelqu'un sans preuve. Tout cela ne donne pas une bonne publicité au tennis", a conclu Muguruza.
Sensation de la saison 2015 avec une finale à Wimbledon, Garbiñe Muguruza jouera le titre à Roland-Garros face à Serena Williams samedi. Avec son jeu très agressif et sa forte personnalité, l'Espagnole dispose de solides arguments pour devenir la future grande du circuit.
Une double culture Née à Caracas d’une mère vénézuélienne et d’un père espagnol, Garbiñe Muguruza a fait un choix important. Elle a porté les couleurs ibériques en Fed Cup face à la Roumanie et elle pourrait bien jouer le mixte avec Rafael Nadal aux JO de Rio. «Ça me plaît d’être entre deux pays. J’ai aimé le soutien que j’ai reçu du Venezuela, je n’oublierai pas ce que ce pays m'a donné, ainsi qu'à ma famille, pour être où je suis aujourd’hui en tennis», a-t-elle déclaré dans El Pais. Ce n’est visiblement pas de la diplomatie selon Sam Sumyk, son entraîneur depuis septembre : «Les gens d’Amérique latine ont cette faculté de lâcher prise. Une petite blague, un peu de musique et le corps et l’esprit se laissent aller, toujours avec le sourire. Ils ont les mêmes soucis qu’en France ou ailleurs mais pendant cinq ou dix minutes, tout le monde oublie et l’esprit de fête ressort puis on repart dans notre quotidien. Son côté espagnol, c’est d’aller bouffer à dix heures du soir...»
La fille de Miami Bien avant d’être révélée au grand public par sa victoire tonitruante (6-2, 6-2) contre son modèle Serena Williams à Roland-Garros en 2014 et sa finale à Wimbledon l’an dernier (perdue contre la numéro 1), l’Espagnole a attiré l’attention à Miami. Bénéficiaire d’une wild-card en 2012, elle avait battu Vera Zvonareva (9e mondiale) et Flavia Pennetta (26e) alors qu’elle n’était que 208e et n’avait que dix-huit ans. L’année suivante, elle avait récidivé en surprenant Anastasia Pavlyuchenkova (25e) et Caroline Wozniacki (9e). Puis tranquillement mais sûrement, elle a montré son talent sur toutes les surfaces avec un quart sur la terre battue de Roland-Garros en 2014, une finale sur le gazon de Wimbledon en 2015, un premier titre sur dur extérieur à Hobart en 2014 et une demi-finale au Masters l’an dernier en indoor.
Un tempérament Elle n’a pas peur de dire ce qu’elle pense. Dans une interview à El Pais en décembre, elle a affirmé : «Les garçons sont différents, mais les joueuses se détestent toutes. Celles qui vous diront le contraire sont des menteuses». Son coach voit en elle beaucoup de similitudes avec une de ses anciennes élèves, Vera Zvonareva (2e mondiale) qui n’abreuvait pas le monde de banalités et ne jouait pas aux ‘’fifilles’’ : «Je crois qu’elle a déjà compris beaucoup de choses. Elle est brillante. Elle sent très bien les choses arriver et ça ce n’est pas donné à tout le monde. Elle a un très fort caractère et une âme d’étudiante. Elle s’intéresse à tout le processus de l’entraînement : qu’est-ce qui est mis en place ? Pourquoi on le fait ? C’est quoi l’objectif ? Je pense qu’elle s’intéresse à tout et elle a une qualité c’est qu’elle s’intéresse à toi».
Le tilde et la visière Appelez-là «Garbiñe», à prononcer «garbigné». Elle y tient. Selon elle, son nom est trop compliqué pour les Anglais et les Français notamment alors elle préfère qu’on l’appelle par son prénom. Mais il ne faut surtout pas oublier le tilde. Sur le court, elle a aussi son petit secret, sa visière. Comme Justine Henin et sa casquette, l’Espagnole se sert de sa visière comme «d’une protection» pour s’extraire du monde extérieur et avoir l’impression de voir sans être vue. «J’ai besoin de me mettre une carapace parce que je suis très sensible, mais en même temps mon émotivité fait que mon jeu est un peu différent des autres», ne cache-t-elle pas.
Son jeu Du haut de son 1,82m, elle envoie du lourd au service et reste sur sa ligne pour imposer une cadence d’enfer. «Elle sait jouer au tennis, faire beaucoup de choses, elle a le sens du jeu, elle a un répertoire assez important, explique son entraîneur. J’espère qu’on fera du très bon travail et qu’on réussira à exploiter toutes ses qualités car il y en a beaucoup». Complète et polyvalente, elle a déjà des fondations très solides et n’hésite pas à jouer le double (16e mondiale) avec Carla Suarez-Navarro pour peaufiner son jeu d’attaque. Très agressive, elle est très loin du jeu à l’Espagnole de ses aînées, Arantxa Sanchez ou Conchita Martinez. «Ce qui me plaît, c’est d’être Garbiñe».
Sophie DORGAN
tipou
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Sujet: Re: GARBINE MUGURUZA (Espagnole) Jeu 16 Juin 2016 - 9:26
Éliminée au 1er tour du tournoi de Majorque, quelques jours après avoir battu Serena Williams en finale de Roland-Garros, Garbine Muguruza reste l’une des favorites lors du prochain Wimbledon selon Toni Nadal, qui la voit également devenir numéro une mondiale d’ici peu.
Elle peut gagner Roland-Garros, perdre son premier match sur gazon de l’année dans la foulée, mais rester favorite pour le prochain tournoi de Wimbledon. C’est ce que pense Toni Nadal, l’oncle et entraîneur de Rafael Nadal, à propos de Garbine Muguruza, numéro deux mondiale et lauréate des derniers Internationaux de France. Le technicien espagnol est d’abord revenu sur la défaite de l'Espagnole au premier tour du tournoi de Majorque sur gazon dans le quotidien espagnol Mundo Deportivo. « C'est un grand échec pour une joueuse comme Garbine Muguruza, surtout après sa victoire à Roland-Garros. Elle est venue ici dans l'optique de faire un très bon résultat, parce qu’elle jouait en Espagne. Mais elle n'a pas joué son meilleur tennis. Elle a eu un mauvais jour ça arrive à tout le monde. »
Muguruza « numéro une mondiale dans l'année à venir»
La deuxième joueuse mondiale a eu du mal à s'acclimater au gazon majorquin, ce que Toni Nadal trouve « normal » actuellement, lui qui ne désespère pas de voir la nouvelle coqueluche du public espagnol remporter la prochaine édition de Wimbledon - elle qui a atteint la finale en 2015 -. « Ce sont des surfaces très différentes, quand tu arrives ici tu perds tout, mais Muguruza est une future numéro une mondiale. Elle avait trop envie de bien faire ici et ça l'a freiné. Dans le tennis, tu as toujours une baisse de niveau, cela arrive à tout le monde, Nadal, Djokovic, Federer, Serena, Sharapova. Mais Muguruza est une très grande joueuse, je suis sûr que nous la verrons numéro une mondiale dans l'année à venir, et pourquoi pas dès le mois prochain en remportant Wimbledon », a carrément pronostiqué Toni Nadal, dont le neveu a d’ores et déjà déclaré forfait pour le Grand Chelem londonien.
tipou
Messages : 150808 Date d'inscription : 05/12/2011
Sujet: Re: GARBINE MUGURUZA (Espagnole) Mer 9 Nov 2016 - 9:27
Alors que, par exemple, Dominika Cibulkova a opté pour des vacances aux Maldives, Garbine Muguruza a choisi une destination plus "culturelle".
La lauréate de Roland-Garros, qui a terminé l'année par une élimination en phase de poules au Masters de Singapour (un succès contre Kuznetsova, deux revers devant Radwanska et Pliskova) et un 7ème rang mondial, a preféré se rendre en Egypte. Au programme notamment : les pyramides au pays des pharaons...
Auparavant, Garbine Muguruza s'était rendue en Suisse, à Genève, pour y admirer le Lac Léman. Elle se rendra ensuite à Los Angeles pour cette fois, rechausser les tennis et préparer la saison 2017.
Destinée Admin
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Sujet: Re: GARBINE MUGURUZA (Espagnole) Ven 11 Nov 2016 - 16:13
Pour Garbine Muguruza, 2017 se vivra...en couleur ! C'est en tout cas ce que l'Espagnole a fait passer comme message après une année 2016 marquée, évidemment, par sa victoire à Roland-Garros. Il ne lui reste désormais plus qu'à enfiler sa belle paire de lunettes rouge pour mettre le cap sur la saison prochaine...
Interrogée sur une éventuelle collaboration prolongée avec Garbine Muguruza après le titre remporté à Wimbledon, Conchita Martínez a été très claire (propose relayés par Puntodebreak.com) : "Cette collaboration a été totalement ponctuelle. J'ai un contrat avec la fédération, Sam (Sumyk) va rejoindre son team comme prévu. Ces deux semaines ont été inoubliables mais je ne serai pas avec Garbine à l'US Open." Pour rappel, la gagnante de Wimbledon en 1994 avait rejoint sa compatriote pour pallier à l'absence de Sam Sumyk, touché par des problèmes personnels.
Auréolée de son deuxième titre du Grand Chelem à Wimbledon, Garbine Murguruza a reçu les félicitations du chef du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy.
Capitaine de Fed Cup et de Coupe Davis, Conchita Martinez a conseillé Garbine Muguruza lors de Wimbledon en raison de l'absence pour des raisons personnelles de Sam Sumyk. Dans un entretien accordé au quotidien sportif espagnol, Marca, Conchita Martinez voit en Garbine Muguruza une potentielle numéro 1 mondiale : "Si elle continue ainsi, elle peut devenir numéro 1 mondiale. Mais il faut y aller étape par étape." L'Espagnole occupe actuellement le quatrième rang mondial et a déjà été numéro 2 mondiale en juin 2016. En attendant mieux donc ?
Garbiñe Muguruza a vécu une soirée pleine d'émotions ce jeudi soir. L'Espagnole a sauvé trois balles de match pour se qualifier en quarts de finale du tournoi de Cincinnati mais, bien plus grave, elle a aussi appris les attentats survenus en Catalogne (deux voitures ont foncé dans la foule à quelques heures d'intervalle, causant treize morts et plus d'une centaine de blessés, selon un dernier bilan). En conférence de presse, elle a rendu hommage à ses compatriotes touchés. "Je ne pouvais pas y croire, j'y ai été tellement de fois, c'est comme chez moi. C'est une rue passante, avec beaucoup de commerces et de gens. J'ai été surprise parce que j'avais entendu ce qui était arrivé à Paris, à Londres, etc... mais là, c'est chez moi. Ca m'a beaucoup, beaucoup choquée. Je suis juste triste pour les gens qui y étaient, ils étaient seulement au mauvais endroit, au mauvais moment, c'est quelque chose qui peut arriver n'importe où et n'importe quand."
Sujet: GARBINE MUGURUZA (Espagnole) 
Sam 1 Nov 2014 - 12:42
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