COUPE DAVIS 2014 FINALE : infos, photos et vidéos

COUPE DAVIS • 17ÈME FINALE POUR LES BLEUS
Par Jérémy Alen, samedi 13 septembre 2014 à 18:22 
http://www.welovetennis.fr/coupe-davis/90991-17me-finale-pour-les-bleus

L'équipe de France s'est qualifiée pour la 17ème finale de son histoire. La France compte 9 saladiers d'argent, la dernière finale a été jouée en Serbie en demi-finale et les Bleus s'étaient inclinées 3 à 2. Le dernier succès date de 2001 c'était en Australie sur gazon.


 Allez cette année est la bonne  battons ces petits suisse 

COUPE DAVIS • LILLE OUI MAIS...
Par Jérémy Alen, samedi 13 septembre 2014 à 19:21
http://www.welovetennis.fr/coupe-davis/90993-lille-oui-mais

Il semble bien que Lille soit en pole position pour recevoir la finale mais ce n'est pas aussi simple que cela. Nice ce serait aussi mis sur les rangs et Montpellier a été cité également. Si la finale se joue dans le nord la capacité du stade en version tennis sera vraisemblablement de 25.000 spectateurs, une première en France pour le tennis.

Vilaine tu ne laisses même pas une chance aux italiens, tiens , bon je sais je rêve

   je doute un peu que les italiens puissent se qualifiés

COUPE DAVIS • LE CHOIX DE LA SURFACE EST DÉJÀ DANS TOUTES LES TÊTES
Par Loïc Revol, dimanche 14 septembre 2014 à 11:12 
http://www.welovetennis.fr/coupe-davis/91005-le-choix-de-la-surface-est-dj-dans-toutes-les-ttes

Si l'équipe de France n'est pas encore sûre de recevoir la finale de la Coupe Davis, le choix de la surface est quand même dans toutes les têtes. En cas de réception de la Suisse, la terre battue semble être privilégiée. Mais les statistiques montrent que les quatre dernières finales disputées à domicile sur terre battue ont toutes été perdues : 1933 contre la Grande-Bretagne, 1982 contre les USA, 1999 contre l'Australie et 2002 contre la Russie. 

Coupe Davis • Tsonga : "La finale peut modifier le programme"

Par Loïc Revol, dimanche 14 septembre 2014 à 10:43
http://www.welovetennis.fr/coupe-davis/91007-tsonga-la-finale-peut-modifier-le-programme

La finale de la Coupe Davis est dans un peu plus de deux mois, mais elle risque sans doute de bouleverser le programme des joueurs tricolores. C'est en tout cas ce que pense Jo-Wilfried Tsonga, à l'issue de la qualification.

"La finale peut modifier le programme de ma fin de saison selon comment je vais me sentir sur les deux prochaines semaines. Je pense que ça peut changer…"


aië 

Tennis, Coupe Davis

Di Pasquale : «Il faudra gagner la finale de la Coupe Davis»

Par Jean-Julien Ezvan, 13-09-2014
http://sport24.lefigaro.fr/tennis/coupe-davis/actualites/di-pasquale-il-faudra-gagner-la-finale-de-la-coupe-davis-713706

Les Français ont fait retentir la Marseillaise à Roland-Garros - AFP  
A l’image du Directeur technique national, la qualification de la France pour la finale de la Coupe Davis a été saluée, fêtée mais ne représente qu’une étape. Le tennis français lorgne le Saladier d’argent.
21-23 novembre, date de la finale de la Coupe Davis. La date clignote. Déjà. «Il s’agit d’un moment formidable pour le tennis français. Une apothéose», salue, entre deux embrassades, Jean Gachassin, le président de la Fédération française. Richard Gasquet, l’homme fort du week-end et Jo-Wilfried Tsonga, le leader bleu, viennent d’arracher le point du double et d’expédier la France vers une finale de Coupe Davis attendue depuis 2010 et tout le tennis français se projette avec ambition.
Guy Forget, ancien capitaine, membre du comité de pilotage de Roland-Garros, indique : «La finale n’aura malheureusement pas lieu à Roland-Garros. La finale, on s’en lèche déjà les babines. Cette génération a déjà joué une finale (perdue 3-2 en Serbie en 2010). J’espère qu’à partir de maintenant, cette finale sera dans toutes les têtes. Ils doivent manger, respirer cette finale contre la Suisse (sic, la Suisse mène 2-1 contre l'Italie mais n'est pas encore qualifiée ce samedi soir). Le reste doit devenir secondaire. Cette chance de jouer tous les matches à domicile ne se représentera pas forcément. Cette finale vaut des sacrifices. J’espère qu’ils auront la chance de la disputer au complet et pas avec une équipe amputée d’un ou deux éléments.»
La finale. Dimanche les Bleus sauront contre qui, Suisse ou Italie. Mais avec quels joueurs, Guy Forget lance : «Ils sont en compétition les uns contre les autres. J’espère qu’ils vont se tirer la bourre, qu’ils vont se dire, je vais aller en Asie pour faire péter un Masters 1000. Richard a prouvé qu’il était solide, a marqué des points vis-à-vis du capitaine, aux autres de se distinguer. A eux de bomber le torse, de montrer à Roger (Federer) et Stan (Wawrinka) pourquoi ils sont arrivés en finale de Coupe Davis et de se donner, pourquoi pas, les moyens d’y arriver dans la peau de favoris.»
Arnaud Di Pasquale, le directeur technique national, résume : «Il ne faut pas se satisfaire d’une qualification pour la finale. Même s’il s’agit de défier la Suisse en France, il faudra gagner. Aller la gagner cette finale, une fois pour toute. Cette génération ne sera récompensée qu’à cette condition, la victoire finale. Je suis convaincu que tous les joueurs ne pensent qu’à cela. Ils en redemandent. Des choses ont été dites, précisées lors de la défaite contre l’Argentine (3-2 en quarts de finale en avril 2013), cette défaite a fait beaucoup de mal au départ, beaucoup de bien à l’arrivée. Les joueurs ce sont des lions, des guerriers, ils ne lâchent rien. L’union fait leur force. L’ego, l’orgueil, il en faut mais il ne faut pas que cela soit mal placé. C’est ce qu’ils ont réussi à mettre en place. Sur le terrain, ils font peur, ils ont la rage.» Et de saluer le rôle joué par Arnaud Clément, le capitaine et Lionel Roux, l’entraîneur : «Arnaud s’est beaucoup affirmé dans son rôle, il est meilleur, plus fort, plus écouté. Il ne gueule pas, parle peu mais jamais pour ne rien dire. Il est écouté. Et Lionel est un bon second.»

Citation :

Avant de penser à l’adversaire, il faut surtout choisir par rapport à nos propres forces
— Nicolas Escudé

La France, ambitieuse, déterminée, est au rendez-vous. Gilbert Ysern, le directeur général de a Fédération française, savoure : «Nous avons vécu deux belles, deux grandes journées de tennis. Il y avait tout, le temps, le public. Quand on réunit une épreuve mythique dans un stade mythique, on voit ce que cela donne. Quelle belle émotion. Et nous sommes aussi particulièrement contents pour Richard (Gasquet). Il a pesé sur la rencontre. Il fallait y aller à 10h30 le premier jour. Et maintenant ? le Palais Omnisport de Paris-Bercy n’étant pas disponible, Lille tient, en cas de finale en France, la corde. Il y a encore un peu de travail à faire mais on a très envie d’y aller. Quand on voit l’engouement pour cette demi-finale, on a envie d’offrir cette finale historique dans le cas d’une finale contre la Suisse, au maximum  de spectateurs, de la vivre devant 25000 personnes. Alors on va soutenir la Suisse, même si ce n’est pas la meilleure façon pour nous de remporter la Coupe Davis. Le tennis français et le tennis mondial veulent cette finale France-Suisse…»
Viendra ensuite le choix de la surface. Nicolas Escudé, héros du dernier titre bleu, en 2001 (en Australie), et entraîneur de Jo-Wilfried Tsonga, glisse : «Avant de penser à l’adversaire, il faut surtout choisir par rapport à nos propres forces.» Lors des deux dernières finales organisées en France, 1999 contre l’Australie à Nice et 2002 contre la Russie à Paris, la terre battue avait davantage été choisie pour contrarier les adversaires que pour servir les desseins bleus. En vain. Guy Forget résume : «Lors de nos dernières finales, la surface n’a pas fait la différence. La qualification pour le Masters (du 9 au 16 novembre à Londres) peut, en revanche, conditionner beaucoup de choses.»
Propos recueillis par Jean-Julien Ezvan, envoyé spécial à Roland-Garros.
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Merci

tipou a écrit:

   je doute un peu que les italiens puissent se qualifiés

même si tu as raison vilaine quand même

Bon d'accord élu   aujourd'hui 
 tes fesses sont toujours mais tu déjà pensé à les faire bronzé un peu   
Tiens j'ai envie 

Coupe Davis, France-Suisse : Les 4 raisons qui font de cette finale un événement exceptionnel
Par Sébastien Petit
Dernière mise à jour il y a 1 heure - Publié le le 14/09/2014 à 18:40
http://www.eurosport.fr/tennis/coupe-davis-2/2014/coupe-davis-france-suisse-quatre-raisons-qui-feront-de-cette-finale-un-evenement-exceptionnel_sto4400905/story.shtml

France-Suisse sera une finale de Coupe Davis de rêve. C'est écrit. Tout est réuni pour que le rendez-vous du mois de novembre reste dans l'histoire. Voilà pourquoi.

Parce que ces Français ont l'occasion de marquer l'histoire 
Cela fait plusieurs années que l'on parle de génération dorée. Après un raté en finale en 2010, ils auront l'occasion de montrer que cette génération de joueurs est vraiment capable de réaliser quelque chose d'exceptionnel. Gagner un titre du Grand Chelem en individuel reste une tâche aussi périlleuse qu'inaccessible. Gagner la "Coupe du monde de tennis", comme la Coupe Davis est désormais vendue par la Fédération internationale, c'est devenu un objectif beaucoup plus concret depuis le début de la saison, et désormais palpable depuis ce week-end. 

L'avis des Bleus : "Il ne faut pas s'arrêter là, on ne peut pas se satisfaire de ça aujourd'hui. Ok il y a une victoire en demi-finale mais il y a une finale à jouer. Il faut aller la gagner une bonne fois pour toutes. Cette génération sera récompensée à la seule condition qu'il y ait une victoire finale, annonce Arnaud di Pasquale. Jo-Wilfried Tsonga, lui, est ultra motivé : "Wawrinka n'a pas attendu d'être en finale de Coupe Davis pour venir nous chambrer. Il le fait depuis qu'il a gagné à Melbourne. Lui aussi voudra gagner cette coupe, autant que Federer. C'est quelque part la meilleure année pour eux aussi de remporter cette compétition, ce qui serait par contre une première pour leur pays."

Parce que cette finale se jouera en France 
Jouer une finale de Coupe Davis est un événement énorme en soi. Mais la disputer à domicile rendra ce moment encore plus fort pour les Tricolores. Ce sera, pour le sport français, le grand rendez-vous qui marquera cette fin d'année 2014. Le hasard a voulu que toute la campagne des Bleus se déroule dans l'Hexagone. Et ce sera encore le cas face aux Suisses, car la dernière rencontre contre les Bleus a été jouée à Prilly, sur le sol helvétique, en 2004. Après Mouilleron-le-Captif, Nancy et Paris, les Bleus pourraient aller jouer à Lille. Prête à proposer le nouveau stade Pierre-Mauroy de plus de 20.000 places en configuration tennis, la ville nordiste est la première à s'être manifestée avant même le résultat de cette demi-finale. 

L'avis des Bleus : "La Fédération étudie toutes les candidatures. Nous ne savons pas encore ce qu'il se joue en coulisse. Ça ira vite de toute manière", affirme Clément. "Moi, ce que je peux dire, rajoute Monfils, c'est que cela peut se jouer dans une salle comme cela pourrait se jouer ailleurs." Mystère.

Parce que Federer ne l'a jamais gagnée ! 
C'est l'un des rares titres qui manquent à son palmarès. Roger Federer et la Coupe Davis, c'est une histoire qui a mis du temps à se dessiner, faute de participation très active pour le Suisse, plus enclin à faire primer sa carrière personnelle que l'équipe helvétique dans ses meilleures années. Sa médaille d'or olympique en double avec Stanislas Wawrinka en 2008 a redonné envie à l'ancien numéro un mondial de se lancer de nouveau dans l'aventure, et encore plus cette année avec la victoire de Wawrinka à Melbourne.

Federer : "Je ne suis pas arrivé jusque-là pour perdre en finale"

L'avis de Gasquet : "Franchement, je pense qu'il peut nous la laisser celle-là. Avec tout ce qu'il a déjà gagné, 17 titres du Grand Chelem, six Masters Cups et je ne sais quoi d'autres, ce titre-là ne sera qu'une anecdote dans son palmarès."

Parce qu'il n'y aura que des grandes affiches 
Une finale de Coupe Davis avec des cinq joueurs classés dans le Top 30 mondial ou ayant été classés dans le Top 10 à un moment de leur carrière, cela reste un fait rare dans cette compétition. Avec Federer, Wawrinka, Tsonga, Monfils et Gasquet, voire Gilles Simon en principaux acteurs, les affiches qui seront proposées ont de fortes chances d'être des matches de haut niveau. Il faut remonter à la finale de 2011 entre l'Espagne et l'Argentine pour retrouver trois anciens membres du Top 10 : Nadal, Ferrer et Del Potro. Sans compter Juan Monaco qui y figura l'année suivante. 

L'avis des Bleus : "La finale rêvée pour nous, c'est qu'il ait la France, synthétise Clément. La Suisse ou une autre équipe, peu importe. Avec Federer et Wawrinka face à nous en France, ce sera un grand événement en soi. Ça rajoute une note incroyable à ce rendez-vous qui sera déjà grandiose."

Coupe Davis 2014 : Clément évoque France-Suisse par FFT

tipou a écrit:

Bon d'accord élu   aujourd'hui 
 tes fesses sont toujours mais tu déjà pensé à les faire bronzé un peu   
Tiens j'ai envie 

:smileymortderije vais essayer d'y penser aux fesses bronzées

Coupe Davis - France-Suisse, quatre raisons d’espérer
Par Grégory Jouin
Publié le 15/09/2014 | 07:43, mis à jour le 15/09/2014 | 11:32
http://www.francetvsport.fr/tennis/coupe-davis/france-suisse-quatre-raisons-d-esperer-244329

France-Suisse constitue l’affiche rêvée de la finale de la Coupe Davis 2014 (21-23 novembre). L’armada suisse a les faveurs des pronostics, mais aussi quelques failles à défaut de carences. Elles sont au nombre de quatre, et elles doivent permettre aux hommes d’Arnaud Clément d’espérer rapporter le Saladier d’argent au siège de la FFT.

Le mental de Wawrinka
En Coupe Davis, Stan Wawrinka a parfois connu quelques soucis voire quelques couacs notables. Il a déjà perdu contre des joueurs franchement moyens comme le Batave Peter Wessels et s’est souvent incliné lors de parties serrées face à des joueurs de son calibre (Sjeng Schalken, Nicolas Almagro, Mardy Fish, Tomas Berdych). Cette année, il ne s’est imposé qu’au jeu décisif du quatrième set contre le jeune serbe Dusan Lajovic, au premier tour à Belgrade. Mais le Lausannois s’est surtout incliné d’emblée devant le Kazakh Andrey Golubev lors du quart de finale à la Palexpo de Genève. Une vraie contre-performance toujours capable de se reproduire alors qu’on pensait le nouveau venu dans le club des lauréats de Majeurs désormais à l’abri d’une telle déconvenue. Wawrinka n’est pas un maillon faible, mais il est clairement celui contre lequel les Bleus devront faire carton plein.

Le physique
Les deux stars suisses vont très probablement devoir enchaîner trois matches en trois jours, à moins de sacrifier le double pour mieux gagner trois points en simples. Pour peu que les rencontres soient très disputées, Federer et Wawrinka pourraient y laisser des plumes tandis que les Français peuvent faire tourner avec plusieurs options, sur les simples comme sur le double (Monfils, Gasquet, Simon ou Benneteau peuvent tous épauler Tsonga). Cette donnée serait encore plus prégnante si les Français choisissaient la terre battue comme surface puisque les matches devraient être plus longs. « Sans oublier que Federer et Wawrinka vont a priori laisser des plumes au Masters », a souligné Gilles Simon. Contrairement aux Français, hormis peut-être Tsonga qui a quand même du chemin à parcourir pour se qualifier.

La pression
La Suisse n’a jamais gagné la Coupe Davis. Les Suisses ont en revanche déjà disputé une finale, perdue par le tandem Rosset-Hlasek face à l’invincible armada américaine (Agassi, Courier, Sampras, McEnroe). Mais ni Federer ni Wawrinka n’ont goûté au parfum particulier d’une finale de Coupe Davis, ce qui est le cas de Gaël Monfils et Gilles Simon (Tsonga et Gasquet étaient blessés lors de la finale perdue à Belgrade en 2010). Le Bâlois n’était pas passé loin d’en jouer une en 2003, mais Lleyton Hewitt avait remonté un handicap de deux manches pour terrasser un Federer qui n’était pas encore le Maestro. Accaparé par ses magistrales conquêtes individuelles, l’homme aux 17 levées du Grand Chelem n’a pas toujours daigné s’intéresser à la Coupe Davis. Il a enfin décidé de s’y consacrer pleinement cette saison, conscient qu’il disposait d’un partenaire idéal pour rapporter enfin le trophée au pays. Mais même si la finale se tiendra en France, la pression risque d’être énorme pour nos voisins qui rêvent de voir la légende s’adjuger l’un des seuls titres absent de son immense palmarès. Le tranquille Roger sera-t-il gagné par la pression ?

Une éventuelle blessure
Si Roger Federer ou Stan Wawrinka venaient à se blesser d’ici à la finale (21-23 novembre au stade Pierre-Mauroy de Lille), ce qu’on ne souhaite évidemment pas, leurs remplaçants n’offrent pas les mêmes garanties, loin de là. Marco Chiudinelli (161e cette semaine, 52e en 2010) et Michael Lammer (450e, 150e en 2009) ne feraient pas le poids face aux meilleurs joueurs tricolores qui pourraient alors remporter trois points assez aisément (le double plus les deux simples joués contre le suppléant de Federer ou Wawrinka). Arnaud Clément, lui, n’a pas ce problème. Il peut choisir entre cinq joueurs pour composer son groupe. « On a un groupe plus étoffé qu’eux, mais ils ont deux joueurs meilleurs que nous », a résumé Tsonga qui sait que la tâche sera rude. Mais après tout, impossible n’est pas Français !

je retiens"La Suisse n’a jamais gagné la Coupe Davis. "
faut que ça continue

Tsonga : gagner la Coupe Davis ? "on peut le faire"
Publié le 15/09/2014 , mis à jour le 15/09/2014 | 14:09

Lien de la vidéo: http://www.francetvsport.fr/jo-wilfried-tsonga-a-stade-2-244463

il y a intérêt

si près du but il ne faut rien lacher!

 Attention les garçons Destinée a sorti son fouet

Destinée attend

oui je suis là prête