ROLAND GARROS 2016 : les infos

une bonne nouvelle

 On pourra dire qu'un français a gagné RG

J'ai vu la finale
Victoire de Djoko en 4 sets

J'ai fêté l'anniversaire de ma cousine, quel idée d'être née pendant RG  à 15h disparition tout discrètement et piquer la télé 


Alors c'était pas vraiment une belle finale, Djoko a mis un plus de temps à rentrer dans sa finale ensuite il décidé de jouer et ben Andy souffre, complètement dépassé, Djoko a fait ce qu'il voulu sur le court. Andy s'est battue tant bien que mal jusqu'au bout mais Djoko était supérieur sur le court. 
Trop d'émotion au moment de conclure le match la 1ère fois et la deuxième fois fut également très dur. 
Quel émotion qui l'a complètement vidé ensuite il semblait complètement perdu sur le court  pis il a tenu parole il dessiné le coeur son coeur comme Guga

Belle poignée de mains entre les 2


ET VOILA DJOKO RENTRE ENCORE PLUS DANS L'HISTOIRE
12ème GC et 4ème grand chelem de suite, Wimbledon, l'USO, l'OA et donc RG
Il n'a plus qu'a 2 petite longueur de Rafa et Sampras


Djoko brise la malédiction

Novak Djokovic dans l'histoire avec sa p^remière victoire à Roland-Garros
Le 05/06/2016 à 18:18:39 | Mis à jour le 05/06/2016 à 19:48:25
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Novak Djokovic a remporté dimanche Roland-Garros, seul Grand Chelem qui manquait à son palmarès. Le Serbe a fait plier Andy Murray en quatre manches (3-6, 6-1, 6-2, 6-4) pour entrer un peu plus dans l'histoire du tennis.

La quatrième était la bonne. Novak Djokovic a fini par remporter Roland-Garros, après trois finales perdues (2012, 2014 et 2015), en battant dimanche Andy Murray (3-6, 6-1, 6-2, 6-4 en 3h03'). Le Serbe devient ainsi le premier depuis Rod Laver en 1969 à détenir les quatre titres du Grand Chelem en même temps. Roger Federer et Rafael Nadal eux-mêmes n'avaient jamais réussi un tel tour de force. Et il a au passage gagné l'amour du public français, bien emmené par un festif contingent serbe disséminé aux quatre coins du stade.

Andy Murray, qui a empoché le premier set avant d'être balayé par l'implacable Serbe, a lui eu droit aux sifflets, à Nelson Monfort dans son box et à trois drapeaux écossais au maximum. Malgré un break blanc encaissé d'entrée, le Britannique s'est vite repris pour infliger un double break (3-1) au n°1 mondial. Murray a livré une première manche solide, grâce à de bons pourcentages au service (74% de points gagnés sur sa première balle, 42% sur la seconde), secteur dans lequel Djokovic était justement en difficulté. En plus d'une deuxième balle faible (25%), il commettait beaucoup de fautes directes (13).

Une explication houleuse en fin de premier set
En bref, il n'était pas encore entré dans sa finale. «Wake up, Djoko, wake up !» lui conseillait même un spectateur alors que Murray se préparait à servir pour le set. Un jeu marqué par une bronca de plusieurs minutes après une explication houleuse entre le Serbe et l'arbitre de chaise, qui donnait raison à Murray. Le Britannique a su rester costaud dans cette ambiance pour conclure sur sa troisième balle de set.

Le temps de se ressourcer sur sa chaise et «le Djoker» s'est remis à l'endroit. Après avoir défendu une balle de break d'un smash rageur, il a pris le service de Murray, auteur d'une double faute au mauvais moment. Tout à coup plus précis, le Serbe a réduit le déchet et serré le jeu, mettant Murray sous pression. L'Ecossais a sauvé deux balles de 4-0 mais a craqué sur son engagement suivant, pris de vitesse par une accélération en revers de Djokovic. Niveau stats, la tendance s'était totalement inversée dans ce deuxième set, notamment au service, une des clés du match. Pour Murray, la première ne passait plus (47%) alors que Djokovic avait retrouvé son aisance (72% de points gagnés sur sa première balle, 71% sur la deuxième).

8
Djokovic est le 8e joueur de l'histoire à avoir accompli le Grand Chelem en carrière, le 5e sous l'ère Open après Rod Laver, Andre Agassi, Roger Federer et Rafael Nadal.

Novak Djokovic semblait autoritaire et Andy Murray dépassé, ce qui n'est parfois qu'une impression. Le Serbe s'est assuré du contraire. Multipliant les variations de rythme dans l'échange pour égarer le n°2 mondial et le pousser à la faute, il a rapidement réussi un nouveau double break dans le troisième set.

A 4-1, les supporters serbes donnaient au Chatrier un air de stade de foot. Rien de mieux pour piquer Murray au vif : il est allé chercher quatre balles de break dans le jeu suivant, long de plus de huit minutes. Il n'en a converti aucune (5-1) mais tenait à rappeler, entre deux «f...», qu'il était toujours en course. Après avoir commis quelques fautes, Djokovic empochait la manche.

L'énergie du désespoir
Dans le quatrième set, Andy Murray s'est battu avec l'énergie du désespoir, branchée sur courant alternatif, serrant le poing sous les sifflets quand il gardait son service alors qu'il était tout près du double break (2-1), mais tellement handicapé par une mise en jeu en berne (40% de premières balles, 43% de points derrière sa première). Il était tantôt hargneux, tantôt démobilisé (16 fautes directes) alors que Djokovic restait serein. Presque trop.

Alors qu'il menait 5-2 double break, remportant blanc ses deux derniers jeux de service, le Serbe est devenu un brin fébrile avec l'imminence du sacre. Andy Murray, en bon bad boy, a donc mis un point d'honneur à retarder le plus possible la cérémonie, effaçant un break pour revenir à 5-4 et faisant douter le Serbe sur ses deux premières balles de match. C'est au bout d'un échange de 20 coups et un revers dans le filet de Murray que Djokovic a enfin pu savourer son triomphe.

Pour célébrer cette victoire historique, il ne lui restait plus qu'à dessiner un coeur avec sa raquette, comme le chouchou parisien Gustavo Kuerten, et à soulever la Coupe des Mousquetaires en profitant d'un rayon de soleil miraculeux.

Annabelle ROLNIN, à Roland-Garros

Roland-Garros (H) : Andy Murray «pas capable de dicter» les points contre Novak Djokovic en finale
Le 05/06/2016 à 20:39:00 | Mis à jour le 05/06/2016 à 20:43:06
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Battu dimanche en finale de Roland-Garros par Novak Djokovic (3-6, 6-1, 6-2, 6-4), Andy Murray a reconnu la supériorité du Serbe, qui a bénéficié du soutien du public pour entrer dans l'histoire avec cette quatrième victoire consécutive en Grand Chelem.


«Qu'avez-vous pensé de votre performance contre Novak Djokovic en finale ?
Sur certains points, j'ai bien joué, mais pas pendant toute la durée du match. Il a extrêmement bien joué. Il a fait très peu d'erreurs. Il a commencé à frapper la balle plus près des lignes et j'étais un peu propulsé loin derrière ma ligne de fond. Si on le laisse contrôler les points, c'est dur. Je n'étais pas capable de suffisamment dicter les points après le début du match.

Même mené 5-4 dans le dernier set, avez-vous continué de croire en vos chances ?
Quand j'ai fait le break à 5-2, en fait le problème, c'est que j'étais déjà très loin, j'étais en retard. Vous savez, le chemin était encore long après ça. Quand on essaie de faire quelque chose pour la première fois, ça vous rend nerveux. Dans ce jeu, je n'étais pas loin de faire quelque chose de très intéressant, mais il (Djokovic) a bien fini.

«Novak mérite le soutien qu'il a reçu»

Comment évaluez-vous votre quinzaine à Roland-Garros ?
C'est difficile à dire. Je suis très déçu mais il y a treize jours, peut-être que j'aurais signé pour être dans cette position. J'avais du mal. Je n'étais qu'à quelques points de quitter le tournoi au premier tour. Mais quand on est en finale, on veut gagner. Je n'ai pas réussi. C'est la déception qui prédomine. Si j'avais été éliminé au premier tour, cela aurait été différent.

Après avoir sauvé une balle de break au deuxième set, Djokovic est revenu beaucoup plus fort...
Oui, tout à fait. Je n'ai pas eu de chance sur un point où il y a eu un mauvais rebond sur la balle de break. Au deuxième set, il s'est libéré un peu et a immédiatement fait le break et après ça, il a commencé à mieux frapper dans la balle. Il y a tout le temps des changements de dynamique, l'élan change d'un joueur à l'autre, notamment dans un match au meilleur des cinq sets. Malheureusement, je n'ai pas pu concrétiser les occasions.

Etiez-vous surpris que le public ne vous encourage pas par rapport à Novak ? C'était décevant ?
Non, je n'ai pas été déçu ces derniers jours. Ça ne me gêne pas. Ça ne rend pas les choses faciles, mais j'ai bien géré l'atmosphère. Cela n'a pas été un problème. J'ai joué contre Stan, Gasquet et l'ambiance n'était pas de mon côté mais cela ne m'a pas gêné. Ce qu'a réalisé Novak aujourd'hui est très spécial. Beaucoup de personnes voulaient être témoin de cet événement. Il mérite le soutien qu'il a reçu.»

Annabelle ROLNIN, à Roland-Garros

«Comme si mon esprit avait quitté mon corps», dit Novak Djokovic après sa victoire à Roland-Garros
Le 05/06/2016 à 21:16:00 | Mis à jour le 05/06/2016 à 21:54:53
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Novak Djokovic était intarissable, dimanche en début de soirée, après sa victoire en finale de Roland-Garros face à Andy Murray (3-6, 6-1, 6-2, 6-4). Le Serbe, numéro 1 mondial et entré dans l'histoire, débordait d'émotions.

«Pouvez-vous décrire ce qui vous est passé par la tête à 5-4 puis après la balle de match, pour votre premier sacre à Roland-Garros après trois finales perdues ?
J'ai pensé à beaucoup de choses depuis que je suis arrivé à Paris, mais j'ai senti en arrivant que, cette année, c'était différent des autres années. (...) Je suis entré sur le court bien préparé. J'ai bien démarré mon premier jeu et après j'en ai perdu quatre, les nerfs ont joué.

J'ai eu besoin d'un peu de temps pour vraiment trouver le bon rythme et commencer à jouer comme je voulais. C'est arrivé au début du deuxième set et pratiquement jusqu'à 5-2 dans le quatrième set. C'était du tennis parfait. J'ai vraiment senti que je jouais un tennis de grande qualité et que je mettais beaucoup de pression sur les services d'Andy, j'essayais de tenir bon. (...)

«Je me suis mis à rire»

Je savais que je devais tout donner pour gagner ce trophée, alors quand je l'ai breaké une deuxième fois à 5-2 dans le quatrième, je me suis mis à rire. Je ne sais pas, j'avais ce genre d'émotion. Je ne ressentais pas vraiment la pression. Peut-être que j'ai pris les choses un peu trop légèrement et j'ai perdu à 5-2. Andy s'encourage sur tous les points pour se battre et il est revenu. (...)

Puis à 5-4, 40-15, (...) nous sommes tous humains, et arriver si près de gagner ce trophée pour la première fois de ma vie, je l'ai ressenti. La tension et l'excitation, toutes les émotions. Je ne me souviens pas de ce qui s'est passé dans le dernier point. (...) C'est comme si mon esprit avait quitté mon corps et que j'étais en train de l'observer se battre dans les échanges, aller de droite à gauche en espérant qu'Andy fasse la faute, ce qui s'est produit. C'était un moment incroyable, l'un des plus beaux de ma carrière.

«Je lui ai demandé la permission et l'honneur de le faire»

Qu'est-ce que ça fait de détenir les quatre titres du Grand Chelem en même temps ?
C'est incroyablement flatteur de savoir que Rod Laver est le dernier à avoir réussi. Il n'y a pas assez de mots pour le décrire. C'est l'un des défis ultimes pour un joueur. Je suis très fier, enchanté, mais c'est dur de réfléchir à ce qu'il s'est passé avant et ce qu'il se passera après. Je suis submergé d'avoir ce trophée près de moi, j'essaie juste de profiter du moment.

Quand avez-vous parlé du dessin du coeur à Gustavo Kuerten ? Que vous a-t-il dit ?
Il y a quelques jours, on a tourné une publicité, on s'est bien amusés. On était ensuite dans la voiture avec la caméra et on parlait beaucoup et je lui ai dit que quand il a dessiné ce coeur, pour moi c'était le moment le plus mémorable que j'aie vu à Roland-Garros. Je lui ai demandé la permission et l'honneur, en cas de victoire, de le faire. Il me l'a donnée.»

Annabelle ROLNIN, à Roland-Garros



Oui on l'a vu son petit sourire sur ses lèvres lors du double break dans le 4ème
Effectivement, on a bien vu qu'après la balle de match, il n'était plus là, il titubait et ne savait plus quoi faire, où il était 

Tennis : Andy Murray s’enflamme pour Novak Djokovic après son sacre à Roland-Garros !
Publié le 5/06/2016 à 20:35 par L.L. 
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Alors que Novak Djokovic a remporté ce dimanche son premier Roland-Garros, Andy Murray n’a pas manqué de saluer l’incroyable performance du Serbe.

Novak Djokovic s’est imposé ce dimanche pour la première fois à Roland-Garros. En effet, le Serbe a dominé Andy Murray en quatre sets en finale du Grand Chelem parisien (3-6, 6-1, 6-2, 6-4). Ainsi, le numéro un mondial entre un peu plus dans la légende et force l’admiration de ses adversaires, à commencer par le Britannique. « D’abord je veux remercier mon équipe ma famille mes amis. Je veux remercier le public il y avait une ambiance extraordinaire. C’est un plaisir de jouer devant un public comme vous. Il faut remercier tout le staff, les arbitres, les ramasseurs de balle… Les joueurs ont apprécié votre travail, nous vous remercions », a-t-il d’abord indiqué.

« Ce qu’il a réussi est extraordinaire »

« Félicitations à l’équipe de Novak. Enfin, je me tourne vers Novak, c’est sa journée. Il a dominé depuis 12 mois. Ce qu’il a réussi est extraordinaire. Gagner 4 Grand Chelem en un an est extraordinaire. C’est tellement rare dans le tennis, ça fait longtemps que ce n’est pas arrivé. Ceux qui sont venu ont de la chance de l’avoir vu de leurs yeux. Je suis fier d’avoir participé à ce match », a ajouté Andy Murray au terme de la rencontre.

Tennis - Roland Garros : Djokovic et «l’un des moments les plus spéciaux» de sa carrière !
Publié le 5/06/2016 à 19:35 par T.M. 
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Pour la première fois de sa carrière, Novak Djokovici s’est donc imposé ce dimanche à Roland Garros. Un moment que savoure le numéro 1 mondial.

Il ne manquait plus que Roland Garros au palmarès de Novak Djokovic. Après un échec l’année dernière face à Stanislas Wawrinka, le Serbe n’a pas craqué sur la dernière marche. Pourtant, cela était mal engagé face à Andy Murray. Lors du premier set, perdu 6-3, Djokovic était très loin de son niveau, enchainant les fautes. Le numéro 1 mondial s’est ensuite repris, étalant tout son talent pour s’imposer en 4 sets (3-6, 6-2, 6-1, 6-4). Avec cette victoire aux Internationaux de France, il rentre ainsi dans le cercle très fermé des joueurs ayant remportés au moins une fois les 4 tournois du Grand Chelem.

« Un moment spécial »

A l’issue de la balle de match, Novak Djokovic a laissé explosé sa joie, dessinant même un cœur sur le court comme Gustavo Kuerten l’avait fait. Après avoir soulevé la Coupe des Mousquetaires, il a livré ses premières impressions concernant ce moment magique à Roland Garros : « Andy, je commence par te féliciter pour ton incroyable tournoi. C’était compliqué pour toi, mais merci. Il fallait qu’il y ait un perdant. Mais je suis sûr qu’on te reverra avec un trophée dans les mains. C’est l’un des moments les plus spéciaux de ma carrière. C’est vraiment un moment spécial. Peut-être le plus grand de ma carrière. Merci à vous. A l’année prochaine (...) Comme j’ai dit sur le court, je sentais quelque chose de spéciale. Pas seulement aujourd’hui, mais depuis mon arrivée. J’ai perdu deux finales, mais cette année j’ai réussi quelque chose de grand dans ma carrière. Avec Wimbledon en 2011 c’est l’un des plus grands moments. Cette année, je me sentais différent quand je suis arrivé, je suis arrivé avec beaucoup de confiance, mais j’ai compris que pour gagne, on attendais autre chose de moi ».

Roland-Garros (H) : Le jour où Novak Djokovic a fait mieux que Roger Federer et Rafael Nadal
Le 05/06/2016 à 22:58:04
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En remportant Roland-Garros, dimanche, Novak Djokovic a réussi là où Roger Federer et Rafael Nadal avaient toujours échoué : devenir propriétaire des quatre Grands Chelems à la fois. De quoi reconsidérer sa position dans la hiérarchie du Big Four ?

Depuis le début de son ascension, en 2011, Novak Djokovic a toujours vu ses performances jugées à l’aune de celles accomplies par ses deux grand rivaux, Roger Federer et Rafael Nadal. Pour beaucoup, le Serbe a le tort d’être celui qui a fait voler en éclat la suprématie d’un duo mythique, dont les confrontations (34) ont nourri un peu plus d’une demi-décennie de tennis.

Djokovic sur les bases de Federer entre 2005 et 2007
Pour définir la hiérarchie du Big Four, le nombre de Grands Chelems remportés a valeur de juge de paix, et sur ce plan, Roger Federer (17 titres) dispose encore d’une marge confortable sur ses aînés comme sur ses contemporains : Nadal est à trois longueurs (14), Djokovic à cinq (12) et Murray à quinze (2). Le rythme effréné de l’actuel numéro un mondial a tout de même de quoi inquiéter le Suisse : «Djoko» s’est enfilé six Grands Chelems depuis Wimbledon 2014, sur les bases du Federer 2005-2007, vainqueur de 7 Majeurs entre Wimbledon 2005 et Wimbledon 2007.
 
Surtout, après avoir été le premier à franchir la barre symbolique des 100 millions de prize money en carrière, coiffant sa majesté «Rodgeur» sur le fil, Djokovic a réussi, dimanche, là où Federer et Nadal avaient toujours échoué. Oui, Djokovic a attendu bien plus longtemps (29 ans et 14 jours) que Federer et Nadal pour compléter son Grand Chelem en carrière : le Bâlois avait 27 ans et 203 jours à Roland-Garros en 2009, le Majorquin avait 24 ans et 101 jours à l’US Open en 2010.

Federer échouait à Roland, Nadal à Melbourne
Mais le voilà détenteur, au même moment, des quatre couronnes du Grand Chelem, fort de son premier titre à Roland-Garros. Dans l’ère Open, seul Rod Laver, sur la seule année 1969 (pour le Belgradois, c’est à cheval sur deux ans), avait accompli pareil exploit.
Pas Federer, pas Nadal.

Le premier a échoué deux fois à une victoire de cette performance majuscule, toujours en finale de Roland-Garros, en 2006 puis 2007 (battu par Nadal). Le deuxième s’est lui rapproché une fois à trois succès d’un Grand Chelem non calendaire, à l’Open d’Australie en 2011 (éliminé en quarts par Ferrer).
 
Djokovic qui fait mieux que Federer et Nadal ? Voilà qui devrait alimenter de nouveau le débat autour de sa place dans l’histoire du jeu.

F.M., à Roland-Garros

Le bilan des Français à Roland-Garros 2016
Le 06/06/2016 à 00:20:00 | Mis à jour le 06/06/2016 à 00:35:34 
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Avec un seul Français en deuxième semaine de Roland-Garros, le bilan des Français est contrasté. Entre les blessures et les déceptions, il y a tout de même eu de bonnes surprises tricolore au Grand Chelem parisien.

Le meilleur parcours : Richard Gasquet
Défaite en quarts de finale contre Andy Murray (5-7, 7-6 [3], 6-0, 6-2)
Après avoir buté quatre fois en huitièmes de finale, Richard Gasquet a passé le cap cette année en battant Kei Nishikori en quatre sets (6-4, 6-2, 4-6, 6-2). Le joueur entraîné notamment par Sergi Bruguera, ancien vainqueur, a enfin trouvé la «grinta» pour dominer un Japonais aux solides références sur terre.

Gasquet s’est donc offert l’occasion de disputer son premier quart à Paris, contre Andy Murray, qui s'est montré très solide et, après deux sets équilibrés, a assommé le Biterrois en 3h23’. Gasquet repart quand même avec la satisfaction d’avoir montré un nouveau visage, enfin acteur du jeu, plus conquérant.


Le blessé : Jo-Wilfried Tsonga
Battu au troisième tour par Ernests Gulbis sur abandon (5-2, ab.)
L’incertitude planait sur Jo-Wilfried Tsonga, touché aux adducteurs lors d’un entraînement à Rome, une semaine avant le début de Roland-Garros. Finalement, il a très vite rassuré en remportant facilement ses deux matches du premier tour. Mais face à Gulbis, il a rechuté. Très tôt dans le match, il a senti «un petit coup de couteau» sur une glissade. Il a continué jusqu’à 5-2, se testant, avant de prendre la décision d’arrêter. Pour lui, Roland s’est terminé dans les larmes et la douleurs. Quelques jours plus tard, le verdict est tombé : c’est une élongation, impliquant une quinzaine de jours de repos.


L'absent : Gaël Monfils
Forfait avant le début du tournoi
Le forfait de Roger Federer, pas remis d’une blessure au dos, était déjà un coup dur pour le tournoi. Ce n’était que le premier. Le lendemain, jour du tirage au sort, Gaël Monfils, malade, a annoncé à son tour qu’il ne disputerait pas Roland-Garros, quatre ans après avoir déjà dû déclarer forfait.

Cloué au lit en raison d’une infection virale, le chouchou de la Porte d’Auteuil a emporté avec lui de nombreux espoirs, lui qui avait atteint la finale à Monte-Carlo quelques semaines auparavant.


Le récidiviste : Stéphane Robert
Battu au deuxième tour par Alexander Zverev (6-1, 3-6, 6-1, 6-4)
Il y a cinq ans, Stéphane Robert signait un premier coup d’éclat à Roland-Garros, face à Tomas Berdych. Au premier tour de l’édition 2016, le vétéran de 36 ans, 90e mondial, a refait le coup en sortant le Sud-Africain Kevin Anderson, 20e mondial (6-4, 6-2, 1-6, 7-5). Robert avait déjà inquiété Novak Djokovic à Rome, deux semaines auparavant (7-5, 7-5). Il s’est ensuite logiquement incliné contre Alexander Zverev, 19 ans.


Le duo : Kristina Mladenovic et Caroline Garcia
Victorieuses du tournoi de double
Quarante-cinq ans après Françoise Dürr et Gail Chanfreau, une autre paire tricolore féminine s'est imposée à la Porte d'Auteuil. A deux mois des Jeux Olympiques de Rio (5-21 août), Kristina Mladenovic (n°8), 23 ans, et Caroline Garcia (n°11), 22 ans, ont livré lutte acharnée de plus de deux heures (6-3, 2-6, 6-4) face aux Russes Elena Vesnina (n°9) et Ekaterina Makarova (n°15) pour s'adjuger le titre à Roland-Garros.


Les promesses : Mathias Bourgue et Quentin Halys
Mathias Bourgue, battu au deuxième tour par Andy Murray (6-2, 2-6, 4-6, 6-2, 6-3)
Quentin Halys, battu au deuxième tour par Pablo Cuevas (7-6[4], 6-3, 7-6[6])
Le premier a donné au court Philippe-Chatrier ses premiers émois de la quinzaine. Bourgue, 22 ans, 164e mondial et titulaire d’une wild-card, qualifié après avoir sorti Jordi Samper-Montana (216e) au premier tour, a fait l’exploit de prendre deux sets à Murray, qui a dû s’employer pour en venir à bout.

Quentin Halys (19 ans, 154e), lui, a été stoppé au même stade face à un spécialiste de la terre, Pablo Cuevas (27e), le poussant par deux fois au jeu décisif. A chaque fois, les Bleuets ont montré de l’audace. Prometteur.


Le bon élève : Jérémy Chardy
Battu au troisième tour par Stan Wawrinka (6-4, 6-3, 7-5)
Jérémy Chardy n'a ni brillé ni déçu Porte d'Auteuil. Le 32e mondial (il sera 33e lundi) a fait un parcours honorable en battant l'Argentin Leonardo Mayer (51e) en quatre sets (6-4, 3-6, 6-4, 6-2) au premier tour, puis en corrigeant le qualifié tchèque Adam Pavlasek au deuxième tour (6-4, 6-2, 6-4). Il a ensuite logiquement buté sur Stan Wawrinka qui a imposé sa puissance et son rythme. «Je ne pensais pas qu’il allait jouer aussi bien, c’est dur d’être déçu. Je n’ai pas trop de regrets.»


Les déceptions : Gilles Simon, Benoît Paire et Lucas Pouille
Benoît Paire, battu au deuxième tour par Teymuraz Gabashvili (6-3, 6-2, 3-6, 6-2)
Gilles Simon, battu au troisième tour par Viktor Troicki (6-4, 6-2, 6-2)
Lucas Pouille battu au deuxième tour par Andrej Martin (6-3, 7-5, 6-3)

Tournoi décevant sur tous les plans pour Benoît Paire. Après une entrée en matière difficile en cinq sets contre le Moldave Radu Albot, il a perdu face au Russe Teymuraz Gabashvili. Cette fois, son entraîneur de toujours, Lionel Zimbler, n’était pas là pour l’aider. Paire s’en était séparé quelques jours avant le début du tournoi.

Gilles Simon, lui, a payé au troisième tour son marathon de 4h31’ disputé deux jours avant face à Guido Pella. Le Niçois a ensuite explosé face au Serbe Viktor Troicki. Quant à Lucas Pouille, on attendait beaucoup de lui. En tout cas davantage qu’une défaite au deuxième tour face au lucky loser slovaque Andrej Martin (26 ans, 133e). Finaliste à Bucarest, demi-finaliste chanceux à Rome, le Français (22 ans, 31e) avait battu Julien Benneteau au premier tour.

Annabelle ROLNIN, à Roland-Garros

4,1 millions devant la finale Djokovic - Murray sur France 2
Le 06/06/2016 à 09:28:00 | Mis à jour le 06/06/2016 à 15:46:32
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La dernière journée de retransmission du tournoi de Roland Garros 2016, avec en point d'orgue la finale remportée pour la première fois par Novak Djokovic, a été suivie sur France 2 par 3,67 millions de téléspectateurs de moyenne soit 30,7 % de PdA.. La Finale en elle-même a attiré 4,1 millions de téléspectateurs soit 34,8% de pda et un pic entregistré à 5,6 millions de téléspectateurs.

L'an dernier, la dernière journée de retransmission de Roland-Garros avait attiré sur France 2 en moyenne tout au long de l’après-midi 3,7 millions de téléspectateurs pour 32,1% de PdA. La Finale du simple messieurs entre Novak Djokovic et Stan Wawrinka avait notamment rassemblé 4,1 millions de téléspectateurs pour 36.5% de PdA.

Plus tôt dans la matinée, la finale du Double Dames, diffusée en direct sur France 4 et remportée par les françaises Caroline Garcia et Kristina Mladenovic, a réuni en moyenne plus de 450 000 téléspectateurs pour 3.9% de PdA, avec un pic d’audience à plus de 750 000 de téléspectateurs au moment de la victoire des joueuses françaises,

V.R-B

tipou a écrit:

J'ai vu la finale
Victoire de Djoko en 4 sets

J'ai fêté l'anniversaire de ma cousine, quel idée d'être née pendant RG  à 15h disparition tout discrètement et piquer la télé 


Alors c'était pas vraiment une belle finale, Djoko a mis un plus de temps à rentrer dans sa finale ensuite il décidé de jouer et ben Andy souffre, complètement dépassé, Djoko a fait ce qu'il voulu sur le court. Andy s'est battue tant bien que mal jusqu'au bout mais Djoko était supérieur sur le court. 
Trop d'émotion au moment de conclure le match la 1ère fois et la deuxième fois fut également très dur. 
Quel émotion qui l'a complètement vidé ensuite il semblait complètement perdu sur le court  pis il a tenu parole il dessiné le coeur son coeur comme Guga

Belle poignée de mains entre les 2


ET VOILA DJOKO RENTRE ENCORE PLUS DANS L'HISTOIRE
12ème GC et 4ème grand chelem de suite, Wimbledon, l'USO, l'OA et donc RG
Il n'a plus qu'a 2 petite longueur de Rafa et Sampras


Djoko brise la malédiction

j'ai suivi avec espoir le premier set, j'étais persuadé que Murray allait continuer sur sa lancée, erreur , je n'ai plus regardé après le second set!
Djoko fait feux de tous bois

Geoffrey Blancaneaux, la tête dans les étoiles

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Geoffrey Blancaneaux, vainqueur du tournoi juniors de Roland-Garros en 2016 | AFP - MIGUEL MEDINA
Par [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Publié le 05/06/2016 | 17:00, mis à jour le 05/06/2016 | 17:11

A 17 ans, bientôt 18 en août prochain, Geoffrey Blancaneaux a remporté le tournoi juniors (8/6 au 3e set), une première pour un Français depuis Gaël Monfils en 2004. Il a également découvert la pression d'un événement, l'apport d'un Yannick Noah au soutien en début de 3e set, et l'engouement médiatique d'après-titre. Avec la tête froide sur le terrain, mais la "tête dans les étoiles" après.

"Oula". C'est le premier mot lâché par Geoffrey Blancaneaux à son entrée dans la salle de presse situé dans les entrailles du court Philippe-Chatrier. C'est ici que quelques minutes avant, Kristina Mladenovic et Caroline Garcia avaient évoqué leur émotion d'après-titre. C'est ici, derrière cette table, que Rafael Nadal avait annoncé son forfait voici quelques jours, que Garbine Muguruza avait raconté toute sa joie après son premier titre en Grand Chelem, hier. C'est en ce lieu qu'Andy Murray et Novak Djokovic viendront parler de leur joie ou de leur peine, à l'issue de la finale. Mais à ce moment-là, c'est lui, le Parisien de bientôt 18 ans, qui est le centre du monde.

Vidéo: La remise du trophée

"Il y a beaucoup de monde", glisse-t-il dans un sourire. Depuis 2004, la France attend d'inscrire le nom d'un représentant au palmarès du tournoi juniors. Après (sur les 35 dernières années) Henri Leconte (1980), Tarik Benhabilès (1982), Fabrice Santoro (1989), Paul-Henri Mathieu (2000), Richard Gasquet (2002), Gaël Monfils (2004), Geoffrey Blancaneaux a soulevé le trophée de Roland-Garros. En anglais, il évoque son émotion, et la difficulté de ce succès final, après avoir sauvé trois balles de match. "Je me disais juste que je ne voulais pas perdre". Mais à 17 ans, le vocabulaire lui manque dans la langue de Shakespeare: "Je n'ai pas les mots, désolé", dit-il dans un sourire face à une question. Cela met fin à l'examen de passage en anglais.

"Le mental, c'est le minimum"

Au terme d'un match épique, dans une ambiance de feu dans la formidable arène du court N.1, il a reçu le soutien d'un public acquis à sa cause, et aussi celui du dernier vainqueur de Roland-Garros en senior: Yannick Noah. "Il m'a encouragé, il m'a donné beaucoup d'énergie, tout ce qu'il avait. Il m'a poussé au-delà de mes limites", soufflait rapidement le jeune joueur au sujet du capitaine de Coupe Davis, avec lequel il avait juste discuté dix minutes dans les vestiaires. A la fin du match, il lui a dit quelques mots sur le terrain: "Il m'a félicité. Il m'a dit que j'avais été fort mentalement, malgré des hauts et des bas dans le jeu." Mais pour Geoffrey Blancaneaux, "le mental, c'est le minimum en tennis. Si tu n'en as pas, tu ne peux pas y arriver. Dès que je suis en difficulté, je m'accroche comme un dingue."

Il l'a donc fait face au très jeune Felix Auger Aliassime, seulement 15 ans, dont le Français dit qu'il a "eu beaucoup d'émotions dans les deux derniers jeux. Il m'a laissé plus de temps". Classé -15 en France, 39e mondial chez les juniors, entraîné par Cédric Raynaud à l'INSEP, le Parisien sait qu'il va désormais changer de dimension. Depuis Alexandre Sidorenko, vainqueur en Australie en 2006, aucun Français n'avait remporté le moindre tournoi du Grand Chelem. "Je n'arrive pas à me rendre compte que j'ai gagné Roland-Garros. Je suis dans les étoiles." L'intrusion dans la salle de Caroline Garcia et Kristina Mladenovic hurlant "allez la France" ne l'a pas ramené sur terre.

jeusetmatch a écrit:

tipou a écrit:

J'ai vu la finale
Victoire de Djoko en 4 sets

J'ai fêté l'anniversaire de ma cousine, quel idée d'être née pendant RG  à 15h disparition tout discrètement et piquer la télé 


Alors c'était pas vraiment une belle finale, Djoko a mis un plus de temps à rentrer dans sa finale ensuite il décidé de jouer et ben Andy souffre, complètement dépassé, Djoko a fait ce qu'il voulu sur le court. Andy s'est battue tant bien que mal jusqu'au bout mais Djoko était supérieur sur le court. 
Trop d'émotion au moment de conclure le match la 1ère fois et la deuxième fois fut également très dur. 
Quel émotion qui l'a complètement vidé ensuite il semblait complètement perdu sur le court  pis il a tenu parole il dessiné le coeur son coeur comme Guga

Belle poignée de mains entre les 2


ET VOILA DJOKO RENTRE ENCORE PLUS DANS L'HISTOIRE
12ème GC et 4ème grand chelem de suite, Wimbledon, l'USO, l'OA et donc RG
Il n'a plus qu'a 2 petite longueur de Rafa et Sampras


Djoko brise la malédiction

j'ai suivi avec espoir le premier set, j'étais persuadé que Murray allait continuer sur sa lancée, erreur , je n'ai plus regardé après le second set!
Djoko fait feux de tous bois

Oui quand Djoko appuie sur l’accélérateur, il est au-dessus de tous

 L'intrusion dans la salle de Caroline Garcia et Kristina Mladenovic hurlant "allez la France" ne l'a pas ramené sur terre

Roger Federer fait sa mise au point
Le 06/06/2016 à 17:05:00 
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Roger Federer persiste en affirmant que ne pas disputer Roland-Garros était la meilleure solution pour lui.

Engagé cette semaine à Stuttgart où il va lancer sa saison sur gazon, Roger Federer est revenu sur son forfait à Roland-Garros. «La décision de ne pas jouer à Paris était la bonne. Je n'avais pas envie de venir juste pour le record, de passer un ou peut-être deux tours et de prendre un gros risque», a précisé le Suisse qui n'avait plus manqué un Grand Chelem depuis l'US Open 1999.

L'hommage à Djokovic
Federer a également étouffé la rumeur qui voulait que la météo ait influencé son forfait. «J'ai été étonné d'entendre que certains pensaient que je m'étais retiré à cause de la météo. Ça n'a rien à voir avec ça. Soit tu es assez fort, soit tu ne l'es pas. Après aussi longtemps, ce n'est pas grave de rater un Majeur. Ce n'est pas l'essentiel de toute façon : l'essentiel, c'est la santé, me sentir bien pour le reste de la saison, de ma carrière et de ma vie». Ce qui implique qu'à 34 ans Federer devait ménager son dos douloureux et faire l'impasse sur le Grand Chelem français. Très attaché à l'histoire de son sport, il n'a pas manqué de souligner la performance de Novak Djokovic. «Pour le tennis, c'est fantastique. C'est de classe mondiale, c'est rare. Il l'a fait à la dure, c'est merveilleux de voir que ça a réussi».

B.L., avec AFP

"qui veut aller loin ménage sa monture" Fed est sensé

Oui il a toujours su bien gérer sa carrière pour éviter les gros pépins

tout à fait

Tennis - Roland-Garros : Nelson Monfort revient sur la polémique avec Andy Murray !
Publié le 6/06/2016 à 20:35 par La rédaction 
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L’un des faits marquants de la finale de Roland-Garros est le coup de gueule d’Andy Murray qui a demandé à Nelson Monfort de ne pas approcher son clan.

Défait par Novak Djokovic en finale de Roland-Garros, Andy Murray s’est aussi illustré en s’en prenant à Nelson Monfort lors du premier set alors qu’il menait. L’Écossais s’est mis dans une colère noire sans réelle raison et a lâché « Get him off the box » au journaliste de France 2 qui souhaitait interviewer son entraîneur. Un évènement qui n’est pas passé inaperçu qui a provoqué une succession de réactions sur les réseaux sociaux. Nelson Monfort a réagi à cette polémique au micro de Canal + et a tenu a calmer le jeu.

« Si j’ai pu vous contrarier, c’est tout à fait à mon corps défendant »

« Il y a eu un petit malentendu. J’étais assis sur le banc réservé aux journalistes. Il y en avait un côté Djokovic et un côté Murray. Et je n’ai pas posé la moindre question à son banc. Pour vous dire la vérité, je ne sais pas s’il me faisait signe à moi ou aux personnes qui étaient debout dans une rangée... Dans le doute, j’ai préféré quitter les lieux. Ça ne l’a pas empêché de me répondre très gentiment à la fin du match », a confié Monfort qui s’est excusé au passage si jamais il a offensé le N°2 mondial. « Mon cher Andy. Si j’ai pu vous contrarier, c’est tout à fait à mon corps défendant, vous le savez bien. Et pour ma défense, quand j’étais là, vous meniez. Donc j’aurai peut-être dû rester. Je suis peut-être un trèfle à quatre feuilles. Enfin c’est plutôt l’Irlande, pour un joueur écossais je ne sais pas… Mais je pense être plus un porte-bonheur qu’autre chose pour les joueurs ».

Tennis : Guy Forget répond aux propos polémiques de Richard Gasquet !
Publié le 6/06/2016 à 18:35 par M.E. 
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Roland-Garros a vécu une année difficile, entre autres à cause des conditions de jeu avec la pluie. Un point noir qu’a souligné Richard Gasquet ce qui a motivé Guy Forget à lui répondre.

« Ils ne sont pas du tout au niveau d'un tournoi du Grand Chelem. Les Grand Chelem, c'est le haut de l'affiche. Que ce soit à Melbourne, à Wimbledon, c'est fabuleux. Un toit mettrait Roland-Garros à ce niveau-là », critiquait ainsi Richard Gasquet la semaine passée au micro d’Europe 1 après sa défaite face à Andy Murray en quart de finale de Roland-Garros. Si le projet du nouveau patron du tournoi francilien prend forme, le Grand Chelem sur terre battue pourrait reprendre du poil de la bête.

« On a demandé aux joueurs d’intervenir »

Un toit pourrait être posé sur le court Philippe-Chatrier d’ici 2020 selon les dires de Guy Forget. En attendant, le vainqueur de la Coupe Davis avec Yannick Noah doit subir les foudres des joueurs, à commencer par Gasquet. « Les propos de Richard ? C’est parce qu’on a demandé aux joueurs d’intervenir. On leur a dit : exprimez-vous là-dessus, aidez-nous ! Il est fini le temps où on faisait profil bas, comme honteux de défendre un tel projet. On a besoin d’un toit, on a besoin de s’étendre. On le dit, quitte à le faire de façon maladroite ou virulente », a expliqué Forget dans les colonnes de L’Équipe.

il serait temps que quelqu'un tape du poing sur la table

Oui il serait vraiment temps de faire bouger les choses

Rafael Nadal à Roland-Garros, c'est...

9 victoires en simple, soit autant que Mats Wilander, Ivan Lendl et Gustavo Kuerten réunis.
9 finales disputées, soit trois de plus que Björn Borg, qui était seul en tête de la liste depuis 1981.
9 demi-finales disputées, soit deux de plus que le Mousquetaire Henri Cochet, dont Rafael Nadal a fait tomber le record en 2013.
Une victoire à chacune de ses quatre premières participations, mieux que Björn Borg, titré "seulement" deux fois lors de ses quatre premières venues.
72 matchs gagnés lors de ses 12 participations. L'Espagnol a une large avance sur Roger Federer, deuxième du classement avec 65 victoires.
56 matchs disputés sur le court Philippe-Chatrier, record partagé pour l'instant avec l'Allemande Steffi Graf, sextuple vainqueur.
53 matchs remportés sur le court Philippe-Chatrier, record absolu toutes époques confondues.
16 matchs disputés sur le court Suzanne-Lenglen pour 100 % de victoires.
Le seul champion de Roland-Garros à n'avoir jamais joué le moindre match sur un court annexe.
Le seul joueur depuis Michael Chang en 1989 à avoir remporté le tournoi avant son vingtième anniversaire (le jour de sa deuxième victoire, le 11 juin 2006, l'Espagnol a 20 ans et 8 jours).
Le seul joueur depuis Mats Wilander à avoir remporté le tournoi à sa première participation (en 2005).
39 matchs gagnés de suite entre 2010 et 2015, soit 11 de plus que Björn Borg, précédant recordman en la matière avec 28 matchs gagnés consécutivement entre 1978 et 1981.
53 matchs gagnés par 3 sets à 0, soit 9 de plus que Roger Federer et 22 de plus que Björn Borg.
97,29 % de victoires, soit le meilleur ratio de l'ère Open. Rafael Nadal devant Björn Borg, deuxième avec un taux de 96,07 % de victoires à Roland-Garros.
92,3 % de sets gagnés. En 74 matchs à Roland-Garros, Rafael Nadal n'a concédé que 18 sets (à 11 adversaires différents). C'est le meilleur ratio parmi les joueurs ayant au moins disputé 50 matchs à Roland-Garros.
Seulement 2,7 % de matchs en cinq sets, soit le plus petit ratio parmi les joueurs ayant disputés plus de 50 matchs. Seuls Novak Djokovic et John Isner ont croisé le fer pendant 5 sets avec l'Espagnol à Roland-Garros. Ils ont perdu tous les deux.
Le seul joueur à avoir battu autant de fois un numéro 1 mondial à Roland-Garros : Roger Federer en 2005, 2006, 2007 et 2008, et Novak Djokovic en 2012 et 2014.
Le seul joueur comptant au moins dix participations à Paris, à n'avoir jamais perdu (raquette en main, oublions l'abandon) avant les huitièmes de finale.
Le seul joueur à avoir atteint autant de finales sans concéder de set. En 2007, 2008, 2010 et 2012, l'Espagnol gagne ses six premiers matchs en 3 sets.
Le seul joueur avec Björn Borg à avoir remporté deux fois le titre sans perdre le moindre set. En 2008 et 2010, il remporte 21 sets sur 21.
Le seul joueur à avoir disputé 5 finales de suite, de 2010 à 2014.
Le joueur qui a perdu le moins de jeux pour se qualifier pour les demi-finales.
En 2008, l'Espagnol ne perd que 25 jeux lors de ses 5 premiers tours.
Le joueur qui a le plus souvent fêté son anniversaire pendant le tournoi. Il a soufflé au total 241 bougies.

Rafael Nadal sur terre battue, c'est...

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Une série de 81 matchs gagnés consécutivement, entre Monte Carlo 2005 et Hambourg 2007.
C'est d'ailleurs à Roland-Garros, après sa victoire au premier tour en 2006 contre Robin Söderling, que Rafael Nadal dépasse le précédent record, 53 victoires de suite, qui était détenu depuis 1977 par Guillermo Vilas.
Le premier joueur depuis Björn Borg en 1978 à être resté invaincu toute une saison sur terre battue.
En 2006, Nadal s'impose à Monte-Carlo, Barcelone, Rome et Roland-Garros, soit dans les quatre tournois sur terre où il s'est aligné.
En 2010, il remet ça avec Monte-Carlo, Madrid, Rome et "Roland".
7 doublés Monte-Carlo / Roland-Garros (2005, 2006, 2007, 2008, 2010, 2011 et 2012), soit plus que Borg, Nastase et Muster réunis.
6 doublés Rome / Roland-Garros (2005, 2006, 2007, 2010, 2012 et 2013), soit trois fois plus que Björn Borg.
Le seul joueur à avoir remporté la même année les 4 plus grands tournois de la saison sur terre battue.
En 2010, Rafael Nadal s'impose successivement à Monte-Carlo, Madrid, Rome et Roland-Garros.
Le joueur qui détient, à égalité avec Guillermo Vilas, le plus grand nombre de titres sur cette surface. Rafael Nadal a égalé les 49 titres de l'Argentin en s'imposant à Barcelone mi-avril.
Le meilleur ratio de victoires / défaites sur terre battue de l'ère Open. Rafael Nadal en remporté 91,47 % de ses matchs sur cette surface.

im-pre-ssionnant

Effectivement c'est impressionnant