JO-WILFRID TSONGA (Français)

Insolites > Tsonga se met à la NBA
Par Antoine Sillières, dimanche 02 décembre 2012 à 13:34
http://www.welovetennis.fr/insolites/59149-tsonga-se-met-a-la-nba

Jo Wilfried Tsonga était aux anges hier soir. A l'American Airlines Arena de Miami, le meilleur joueur français a assisté à la rencontre de NBA qui opposait les Brooklyn Nets aux Miami Heat. Visiblement acquis à la cause des locaux, Jo était ravi de pouvoir observer de près Lebron James et consorts. Il ne s'est d'ailleurs pas priver de faire bisquer les envieux en postant un cliché du match sur son compte Twitter.

"Ça c'est cadeau! Récompense après une grosse semaine d'entraînement... Je viens prendre l'inspiration!"

Sympa, j'aimerais bien un jour assister à un match de NBA

Tsonga veut gagner un Grand Chelem
Charlotte Ezdra - Publié le 03/12/2012
http://www.tennisleader.fr/francais/tsonga-veut-gagner-un-grand-chelem

Lors d’une interview accordée à l’Express, Jo-Wilfried Tsonga, entrainé par Roger Rasheed, a confié que son principal objectif pour la saison 2013 est de remporter un Grand Chelem, mais aussi de "gagner plus de tournois en général." Par ailleurs, le n°1 Français est également revenu sur sa participation à certains actes caritatifs. "J'essaie de participer à l'élaboration d'un monde meilleur pour ceux qui souffrent plus que les autres. Si je peux faire la moindre chose, si je peux offrir un sourire, c'est tout ce qui compte. Ca reste quelque chose de positif."

Insolites > Tsonga a trouvé un sparring...
Par Luis Revol, mercredi 12 décembre 2012 à 12:04
http://www.welovetennis.fr/insolites/59461-tsonga-a-trouve-un-sparing

Après avoir pris part à la tournée d'exhibition de Roger Federer au Brésol, Jo-Wilfried a repris sa préparation pour la saison 2013 du côté de Key Biscane. Et le Manceau a trouvé un sparring en la personne de l'Ukrainien, Alexandr Dolgopolov.

Omnisport > Tsonga et Monfils dans le top 10
Par Luis Revol, lundi 17 décembre 2012 à 10:08
http://www.welovetennis.fr/omnisports/59602-tsonga-et-monfils-dans-le-top-10

L’Equipe Magazine, dans son édition de samedi, a publié son classement des sportifs préférés des français. Sébastien Loeb arrive en tête de ce sondage avec 31,4%. Une récompense légitime pour celui qui a décroché son neuvième titre consécutif de champion du monde des rallyes cette année, un record dans le sport automobile. Mais deux tennismen se sont glissés dans le top 10. Tout d’abord Jo-Wilfried Tsonga se classe cinquième avec 22,1%, puis Gaël Monfils pointe en huitième position avec 20,3%. Un troisième tennisman figure dans ce classement, puisque Richard Gasquet arrive 32ème avec 8,5%.

ATP > Santoro : "Tsonga veut une place dans le top 4"
Par Rémi Cap-Vert, jeudi 20 décembre 2012 à 13:20
http://www.welovetennis.fr/atp/59717-santoro-tsonga-veut-une-place-dans-le-top-4

Fabrice Santoro s'est exprimé sur le cas Tsonga, dans une conférence de presse, à Rio. Santoro revient sur la décision du numéro un français de travailler avec Roger Rasheed.

"J'aime la décision de Jo de prendre un entraîneur, parce qu'il était seul depuis un an et demi et qu'il en avait besoin. J'étais aussi content de voir qu'il prenait Roger Rasheed et j'espère que leur équipe fonctionnera. Je sais qu'il travaille comme un fou durant l'intersaison. Son objectif principal - comme celui de David Ferrer, Juan Martin Del Potro et tous les autres en-dehors du top 4 -, c'est de prendre une place dans ce Big Four. Chacun des membres du Big Four a gagné un Grand Chelem cette année et ça va être difficile de casser ce groupe en 2013."

Tsonga doit prouver sa valeur
Par Francois Quivoron
Publié le 21 décembre 2012 à 12h31
http://sports.orange.fr/tennis/atp/articles/atp-bientot-la-reprise-pour-tsonga-380248/


Jo-Wilfried Tsonga est ambitieux pour la saison 2013. (Reuters)

L'heure de la reprise va bientôt sonner pour Jo-Wilfried Tsonga. Le n°1 français, qui entame sa saison 2013 à Sydney à partir du 7 janvier, espère progresser au côté de son nouveau coach Roger Rasheed. Avec l'ambition toujours intacte de gagner un tournoi du Grand Chelem.

Sa saison 2012

Pour la quatrième fois de sa carrière, Jo-Wilfried Tsonga a achevé une année dans le top 10 (8e). En plus de deux nouveaux titres (Doha et Metz), il a gonflé son palmarès avec une médaille d’argent en double aux Jeux Olympiques. En Grand Chelem, le Manceau a joué une nouvelle demi-finale, la deuxième consécutive à Wimbledon, et a réalisé son meilleur résultat à Roland-Garros en atteignant les quarts. Un bilan plus qu’honorable s’il n’avait pas été terni par quelques désillusions comme ses défaites précoces à l’Open d’Australie (en 8e de finale contre Nishikori) et à l’US Open (au 2e tour contre Klizan), des résultats moyens en Masters 1000 (aucune présence en demi-finales) et surtout un seul succès en 15 matches contre des joueurs du top 10 (contre Juan Martin Del Potro à Rome).

Ce qu’il en pense:
"J'ai l'impression d'être très près, mais finalement je n'arrive pas à gagner, c'est agaçant. C'est frustrant mais c'est en même temps encourageant, car je sens que je ne suis pas très loin. Je suis certain d'avoir le niveau pour jouer avec ces gars-là. Vous avez envie de trop bien faire et vous vous tendez un peu. Le but était de trouver la voie dans laquelle je devrai aller la saison prochaine. C'était de me donner à 300%. Cette année, j'ai été en-dessous de ce genre de joueurs, mais je ne suis pas si loin que ça. Cela me donne de l'espoir. Je n'ai pas à rougir de mes défaites."

Sa collaboration avec Roger Rasheed

Après un an et demi en solitaire sur le circuit, Tsonga a choisi de s’attacher les services d’un nouvel entraîneur. Roger Rasheed, ancien coach de Gaël Monfils, a donc rejoint l’entourage du n°1 tricolore. Depuis la fin de sa collaboration avec Eric Winogradsky, il n’avait pas hésité à demander conseil auprès de certains grands noms du tennis, comme Andre Agassi et Patrick Rafter. Et il a opté pour un entraîneur étranger, ce qui souligne une certaine logique dans son esprit. Réputé comme étant un gros bosseur, Rasheed a pour mission de faire progresser Tsonga dans tous les secteurs.

Ce qu’il en pense:
"J’aime son état d’esprit australien. Toujours positif. Il a une grande expérience du circuit, il a déjà travaillé avec de très grands joueurs. Il a fait du très bon boulot avec Gaël. Il va m’apporter au niveau de la motivation, c’est un bon moteur. Techniquement, il connaît bien le jeu. Sa vision sera différente."

Ses secteurs de jeu à travailler

Le service et le coup droit sont les deux principales armes de Tsonga. Sa puissance et son état d’esprit guerrier, quand il est en mode "on", font le reste. Mais les chantiers sont nombreux pour Rasheed, qui n’a pas voulu citer précisément les secteurs de jeu à améliorer. On peut les lister pour lui: la vivacité dans les déplacements, une deuxième balle plus performante, une volée plus tranchante et des retours de service plus dignes d’un membre du top 10. Du point de vue mental, Tsonga doit aussi trouver plus de constance pour éviter de dégoupiller, comme cela lui arrive parfois quand ça ne tourne pas rond.

Ce qu’il en pense:
"Tous les aspects de mon jeu seront à travailler, je suis perfectible sur tous les aspects du jeu. Mais la rigueur au niveau du placement primera sur le reste."

Ses objectifs

Tsonga le clame depuis plusieurs années: gagner un tournoi du Grand Chelem représente pour lui l’objectif ultime. Manque de chance, il est sur le circuit en plein milieu d’une période de vache maigre pour tout joueur qui n’appartient pas au "Big Four". Sa finale à l’Open d’Australie en 2008 et ses trois demies en Majeurs (Open d’Australie 2010, Wimbledon 2011 et 2012) le confortent dans son potentiel. Mais c’est un tournoi parfait qu’il doit réaliser pour gagner. Remporter de nouveau un Masters 1000 représenterait peut-être un autre palier, avant de viser les sommets.

Ce qu’il en pense:
"Mon objectif précis est un Grand Chelem. C’est le Graal pour un joueur de tennis. Si je suis 1er, 2e ou 3e sans cela, ça ne m’intéresse pas vraiment. Il faut toucher à la plus grosse émotion. Le classement est secondaire. L’objectif n’est pas à court terme, l’objectif est de travailler, d’être professionnel pour avoir la chance de gagner un Grand Chelem. Après lequel ce sera… Si c’est dans un an, deux ans ou trois ans, je n’en ai aucune idée. Ce que je sais, c’est que je vais tout faire dans l’ordre pour être plus fort tous les jours."

on va assister a de beaux combats

Merci

ATP > Tsonga vise très haut
Par Pauline Dahlem, dimanche 30 décembre 2012 à 19:01
http://www.welovetennis.fr/atp/59960-tsonga-vise-tres-haut

En marge de la Hopman Cup où il a choisi de débuter son année 2013, Jo-Wilfried Tsonga s'est confié aux journalistes locaux sur ses objectifs pour la saison 2013. Ambitieux, le Français ne se fixe pas de limites.

"Avec Roger (Rasheed, Ndlr son nouveau coach), on va travailler très dur afin d'essayer d'intégrer le Top 4. Pour atteindre le soleil, vous devez d'abord passer la lune (sic). Je veux essayer d'être le numéro 1. Mais pour le moment, le but est de battre les meilleurs joueurs pour aller gagner un Grand Chelem."

Le 12/01/2013 à 05:09:00 | Mis à jour le 12/01/2013 07:30:22
Tennis :Tsonga : «Je paie des impôts en France»
http://www.lequipe.fr/Tennis/Actualites/Tsonga-je-paie-des-impots-en-france/341757

Après les questions d'usage sur son premier tour face à Michaël Llodra, la conférence de presse de Jo-Wilfried Tsonga a vite dévié ce samedi sur l'exil fiscal. Pour la première fois, le Manceau s'est expliqué sur le pourquoi du comment.

« Jo-Wilfried Tsonga, que répondez-vous à la polémique sur l’exil fiscal ?
Les gens n’ont pas forcément tous les éléments pour juger. S’ils les avaient, ce serait plus facile pour nous parce qu’ils comprendraient. On dit que je suis exilé fiscal mais je fais une déclaration de revenus en France. Je suis résident en Suisse, mais je donne beaucoup d’argent au fisc français. J’ai l’impression d’être plutôt positif pour mon pays et je pense avoir le droit de vivre où je veux.

La polémique est aussi née de votre présence sur la liste des médaillés olympiques pour la Légion d’honneur. Pensez-vous la mériter ?
Quand je me regarde dans la glace le matin, je n’ai pas forcément besoin d’une médaille pour savoir si ce que je fais est bien ou pas. On me la donne pour avoir gagné une médaille aux JO. Aujourd’hui mon œuvre n’est pas forcément d’avoir obtenu une médaille aux JO, c’est plus à travers ce que je fais : bien représenter mon pays à travers le monde et essayer de sauver des enfants à travers mon association. Je suis très honoré d’être sur cette liste, mais je ne pense pas que ce soit pour la bonne raison.

Pouvez-vous détailler sur quoi vous payez des impôts en France ?
C’est sur tout ce qui est rattaché en France. Cela correspond aux prize money dans les tournois français, à ce que je peux toucher comme garanties dans les tournois français, à l’argent reçu pour la Coupe Davis. Je joue le jeu parce que je joue tous les tournois en France. Je ne remplace jamais un tournoi en France par un tournoi à l’étranger. J’ai l’impression de faire mon devoir. Je crois bien représenter mon pays à l’étranger et je paie quand même des impôts. C’est un peu dur.

«Lors de ma dernière déclaration d'impôts en 2011, j'ai payé environ 230.000 euros sur 47 jours de présence en France. Je paie comme tous les Français sur mes revenus rattachés à la France.»

Combien payez-vous concrètement ?
Lors de ma dernière déclaration d’impôts en 2011, j’ai payé environ 230.000 euros sur 47 jours de présence en France. Je paie comme tous les Français sur mes revenus rattachés à la France.

Par exemple, est-ce que vous bénéficiez de la sécurité sociale ou toucherez-vous la retraite ?
Je cotise pour la sécurité sociale et pour la retraite auxquelles je n’aurai pas droit. Je coûte zéro à la France et je ramène de l’argent. C’est dur d’être critiqué alors que j’ai l’impression de bien faire les choses. Je cotise mais je n’ai pas droit à la sécurité sociale ou à la retraite. Quand je vais me faire soigner pour une carie, je paie 500 euros. Quand je vais faire une IRM, je paie 500 euros. Et j’en fais des IRM (sourires) ! J’avoue que je ne les fais pas en France, je les fais plutôt en Suisse.

Pourquoi avez-vous choisi de partir en Suisse ?
Il y a bien sûr la peur du manque dans cette démarche. On a tout sacrifié pour le tennis. J’ai sacrifié mes études, ma vie de famille, mes copains. Aujourd’hui je me dis que je n’ai pas fait tout ça pour rien. De plus, je suis « chef d’entreprise ». Si je me blesse demain, je n’ai plus rien. On n’est pas sûr de la durée de notre carrière. On essaie de capitaliser au maximum. On n’est pas joueur de foot ou de basket, on n’est pas salarié d’un club, on est entrepreneur. On joue à travers le monde. Je passe plus de temps à l’étranger que chez moi ou en France. On paie des impôts dans tous les pays où on joue. On est des entrepreneurs, mais on n’est pas une entreprise. Quand je bosse, c’est à la sueur de mon front.

Vous n’êtes pas à plaindre quand même…
Il faut être honnête, il me reste beaucoup d’argent. C’est mon métier qui veut ça. Je ne vais pas refuser ce qu’on me donne ! Je vis très confortablement. Je ne viens pas d’un milieu très riche, je viens d’un milieu normal avec des parents enseignants, c’est donc quelque chose de nouveau.

Que répondez-vous à ceux qui disent : on ne va pas le plaindre ?
Ils ont complètement raison. »

Recueilli par S.D., à Melbourne

Chacun est libre de faire ce qu'il veut

Chacun fait fait fait c'qui lui plait plait plait...

une bonne mise au point de TSONGA

Jo-Wilfried Tsonga : Encore plus d'ambition" - Tennis
Sam. 12/01/2013 - 21:50

Le numéro 1 français est ambitieux à l'aube de l'Open d'Australie, première levée du Grand chelem de la saison. Son année 2012 l'a changé.

Vidéo: http://video.eurosport.fr/tennis/jo-wilfried-tsonga-encore-plus-d-ambition_vid259809/video.shtml

*Fan2RafaEtMaria* a écrit:

Chacun fait fait fait c'qui lui plait plait plait...

Jo-Wilfried Tsonga parle de son nouveau coach, Roger Rasheed
Publié le 21/01/2013 à 18:21, mis à jour le 21/01/2013 à 18:29
http://www.eurosport.fr/tennis/open-d-australie/2013/jo-wilfried-tsonga-parle-de-son-nouveau-coach-roger-rasheed_sto3585625/story.shtml

Jo-Wilfried Tsonga redécouvre à Melbourne les plaisirs de la vie à deux sur le circuit avec son nouveau coach, Roger Rasheed, qui lui apporte déjà beaucoup.


Il y a des moments, dans la vie, où il faut être capable de tourner le dos à ce qui marche. Ainsi, la vie en solitaire sur le circuit, pour Jo-Wilfried Tsonga, c’est fini. Après 18 mois sans entraîneur sur le circuit, le numéro un français a décidé de s’attacher à nouveau les services d’un entraîneur. Pourtant, cette période s’est avérée plutôt faste pour le numéro un français. Ces deux dernières saisons, il s’est qualifié pour le Masters, disputant même une finale. Il n’a plus quitté le Top 10 depuis l’été 2011. Il s’est montré plus régulier qu’il ne l’avait jamais été en Grand Chelem. Alors, pourquoi changer ? Parce que celui qui renonce à devenir meilleur cesse déjà d’être bon. Parce que, seul, Tsonga sentait qu’il n’irait pas plus haut. A 27 ans, Tsonga sait qu’il n’a plus de temps à perdre s’il veut franchir un cap, celui qui le sépare encore du Big Four. C’est maintenant, dans les deux années qui viennent. Ou ce sera jamais.

C’est ce sentiment d’urgence qui est tout à son honneur qui a poussé le Manceau à engager Roger Rasheed à ses côtés. Pourquoi lui ? Sans doute parce que Tsonga a estimé qu’il possédait les qualités pour le faire avancer. Mais à l’évidence, le fait qu’il ait travaillé précédemment avec Gaël Monfils a beaucoup joué. "Avant, il était avec un pote à moi, explique-t-il. Je l’ai vu à l’œuvre. Il faisait du super boulot. J’avais déjà souvent parlé avec lui. Je l’apprécie beaucoup, j’aime sa façon d’appréhender le tennis et d’en parler. J’avais ma propre perception du gars avant et elle était très bonne. J’en ai juste parlé un peu à Gaël avant de demander à Roger de devenir mon coach." S’il a toujours assuré se sentir bien en solo, il apprécie de retrouver les automatismes de la relation joueur-entraineur. "C’est forcément diffèrent, admet-il. Pas complètement nouveau, parce que j’ai quand même travaillé longtemps avec des entraineurs, mais c’est une habitude à reprendre, oui. C’est super de l’avoir à mes côtés."

"Aujourd’hui, j’arrive à mettre de l’intensité en permanence"

Il est évidemment beaucoup trop prématuré pour savoir où cette nouvelle aventure le mènera. Mais pour l’heure, Tsonga est pleinement satisfait de cette collaboration. Il y a trouvé, d’abord, des axes de progression. A tous les niveaux. Techniquement, son revers reste son côté faible. Très faible, même, par rapport aux joueurs qui se situent devant lui au classement. Tactiquement, il a besoin de devenir plus agressif encore. Une condition sine qua non à sa réussite. Et physiquement, même s’il a longtemps refusé de l’entendre, JWT est encore un peu trop lourd. "De manière générale, note notre consultant Patrick Mouratoglou, Tsonga devient plus agressif. Rasheed veut qu'il ait beaucoup plus d'initiatives côté revers. Il l'utilise déjà davantage, c'est incontestable. Il y a aussi un volet physique : il voulait qu'il perde un peu de poids pour qu'il soit plus véloce. Il a perdu quatre kilos, c'est un grand pas dans cette direction."

L’apport de Rasheed se fait aussi sentir dans la vie de tous les jours. A l’entrainement, où il est parfois difficile d’être à 200% tous les jours. Seul, le relâchement est plus facile. "Il m’aide beaucoup mentalement dans le sens, où des fois, tu arrives le matin à l’entrainement, tu n’as pas le moral et tu as du mal à donner le meilleur de toi-même, raconte Tsonga. Roger est un moteur permanent. Il est là, il m’aide, il me motive. Du coup, je fais des entrainements de qualité. Tous mes entrainements sont de qualité, de la première à la dernière balle." Qualitativement, il estime y avoir beaucoup gagné. "Avant, reprend-il, quand j’étais bien, je m’entrainais très bien. Quand j’étais moins bien, parfois, je mettais un peu de temps à rentrer dans mon entrainement. Sur une séance de trois ou quatre heures, il y en avait seulement une ou deux de bénéfiques. Aujourd’hui, j’arrive à mettre de l’intensité en permanence."

Mais cette nouvelle collaboration, c’est avant tout l’histoire d’une ambition commune. Tsonga n’avait pas besoin de son nouveau coach pour figurer dans le Top 10. Ça, il le faisait très bien tout seul. En Rasheed, il a trouvé quelqu’un qui croit en lui, et qui lui fait partager cette foi. "Je ne manquais pas de motivation, mais il m’a encore plus boosté, confie le Français. Il a envie que je gagne, peut-être plus encore que moi. Il est incroyable. J’essaie de me mettre à son niveau de motivation. J’ai l’impression qu’il peut déplacer des montagnes, et il me communique ça." Une montagne, en voilà justement une qui se présente sur la route des deux hommes. La plus haute de toutes, peut-être. Roger Federer. Le premier grand rendez-vous du duo Tsonga-Rasheed. Le premier grand moment de bonheur ?

Eurosport - Laurent VERGNE

Merci

Insolites > Tsonga, macho, macho man
Par Jérémy Alen, jeudi 24 janvier 2013 à 08:45
http://www.welovetennis.fr/insolites/61319-tsonga-macho-macho-man

Interrogé en conférence de presse sur la raison pour laquelle les têtes de série du tableau féminin avaient plus de mal à maintenir leur rang que chez les hommes, Jo-Wilfried Tsonga a eu une réponse plutôt éloquente: "Les filles sont moins stables que nous émotionnellement. Je suis sur que tout le monde dira que j'ai raison même elles. Je pense que c'est à cause des hormones et tout ce que cela implique. Nous, les hommes nous avons pas ces soucis. On est toujours en pleine forme et jamais atteint par ce type de porblème, c'est là, la vraie différence". Une explication qui va ravir les fameuses "chiennes" de garde.

Moi si j'étais lui je ferais gaffe parce que prendre une raquette d'une Sésé énervée ça doit pas faire du bien , mais bon il ne faut pas que nous soyons de mauvaise foi il a quand même un peu raison

Ah bon tu crois, seulement "un peu" raison

Tiens regarde ce que mes hormones me disent

Ce que dit Jo se confirme